Dans ce dixième volume, nous avons les dialogues entre le Ciel et Luisa Piccarreta de Novembre 1910 au 10 Février 1912. En méditant des extraits de ce dialogue entre Luisa et le Seigneur, daté du 11 Octobre 1911, on voit combien les âmes réparatrices et expiatrices sont puissantes sur le Coeur Miséricordieux de Jésus pour empêcher la justice de Dieu de s’accomplir :
L’amour véritable réside dans l’union des volontés. Jésus ne sait rien refuser à celui qui l’aime. Mon bien-aimé Jésus ne se montre que très peu, et toujours avec le même refrain d’instaurer la tragédie, mais aussi de faire envahir l’Italie par des étrangers. Si cela se produisait, l’Italie irait au devant de gros ennuis. Voilà pourquoi je dis à Jésus : La guerre, les guerres, les tremblements de terre, la destruction des villes, maintenant Tu veux ajouter cela aussi, Tu vas vraiment trop loin ! Mais qui pourra résister ? Jésus : «Ah ! Ma fille, c’est une nécessité, cela est nécessaire. Tu ne comprends pas à quels excès a abouti l’homme, toute classe confondue, prêtres, religieux ; qui va les purifier ? N’est-il pas juste de ma part de faire appel à des étrangers pour tout purifier pour qu’ils baissent leur tête altière et fière ?» Moi : «Ne fais pas cela, au moins, ne fais pas venir les étrangers ; je te vaincrai avec mon amour, encore mieux, avec Ton amour. N’as-tu pas dit Toi-même que Tu ne sais rien refuser à celui qui t’aime ?» Jésus : «Tu veux me vaincre ? Tu veux te battre contre Moi, mais ne sais-tu pas que l’amour véritable réside dans l’union des volontés ?»
Moi, m’échauffant encore plus je répondis : «Certainement, en pleine union avec ta Volonté, mais pas dans ce cas, ici il s’agit du malheur des autres ; nous nous battrons jusqu’au bout et tu ne triompheras pas»…
En ce début du troisième millénaire, unissons nos prières et nos supplications à celles de Luisa pour arrêter la justice de Dieu et ne connaître que Sa miséricorde…
Editions Résiac