Former des missionnaires de la divine VOLONTÉ
Ils annoncent « à temps et contre temps » le Kerygme : c’est-à-dire, Jésus mort pour nous, ressuscité, et Amour toujours vivant à nos côtés.
Voilà « la tâche première de l’Église » qui doit « rester tendue vers l’annonce » de la Bonne nouvelle disait saint Jean Paul II. Il nous faut pour ce millénaire une « nouvelle évangélisation ». Nouvelle « par son ardeur, sa méthode et son expression »2. C’est cette joie de « de l’Évangile ; joie missionnaire qui remplit la vie de la communauté des disciples », disparue du cœur de beaucoup de nos frères catholiques. De nouvelles « langues de feu » raniment aujourd’hui notre Église et forment des cœurs amoureux fous de Jésus.
Ce nouvel embrasement fait entrer le disciple amoureux missionnaire, non seulement dans un zèle à toute épreuve pour la mission, mais aussi dans une vraie dimension mystique. La prière devient « une vraie folie du cœur » disait encore Jean Paul II. Cet amour fou pour Jésus consume le cœur et fait désirer toujours plus cette ressemblance et identification avec son Bien Aimé Seigneur, ami et Époux. Le missionnaire débordant de cet amour insatiable, veut « tout donner pour tout recevoir ».
C’est seulement dans une totale conformité au Christ que les fruits sont universels et infinis. « La révélation n’étant pas complètement explicitée », « saisi par le Christ », l’homme s’ouvre alors à ces œuvres plus grandes encore que celles du Maître, dont Il a parlé et promis. Certainement nous entrons dans la fin « d’un temps », mais aussi dans un « nouveau printemps de l’Église » et du monde. C’est la réalisation de la prière du Notre Père, annonçant la venue de Son Règne, « le prodige des prodiges » :
la Vie dans la Divine Volonté.
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Qui était la petite fille de la divine volonté ? Découvrez Luisa Piccarreta et ce que Jésus nous dit à travers elle, avec les pères Dominique et Jean-Jacques Duten