Boutique - Luisa Piccarreta - Le Livre du Ciel - Tome 9 - Missionnaires de la Divine Volonté

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Dans ce neuvième volume, nous avons les dialogues entre le Ciel et Luisa Piccarreta du 10 Mars 1909 au 3 Novembre 1910. Les paroles que le Seigneur adressait le 4 Juillet 1910 à Luisa concernent chacun d’entre nous puisqu’il s’agit de la mort. En voici un extrait :

J’étais dans mon état habituel… et je méditais sur l’agonie de Notre-Seigneur. Il me dit : «Ma fille, j’ai voulu souffrir l’agonie au Jardin pour aider spécialement les mourants à bien mourir. Vois comment cette agonie correspond bien à l’agonie des chrétiens : lassitude, tristesse, angoisse et sueurs de sang. Je ressentais la mort de tous et de chacun comme si je mourais réellement pour chacun en particulier…

La mort est quelque chose de grand, de sublime ! Les choses se passent ainsi pour mes propres enfants : durant leur vie, ils sont méprisés, opprimés ; leurs vertus qui, comme la lumière, devraient briller aux yeux de ceux qui les entourent, restent à demi-voilées ; leur héroïsme dans la souffrance, leur abnégation et leur zèle pour les âmes projettent à la fois de la lumière et des doutes chez les personnes qui les entourent. Et c’est moi-même qui permets cela afin que soit préservée la vertu de mes chers enfants mais, dès qu’ils meurent, comme ces voiles ne sont plus nécessaires, je les retire et les doutes deviennent des certitudes, la lumière se fait pleine et fait apprécier leur héroïsme ; on commence alors à tout estimer en eux, même les plus petites choses. Par conséquent, ce qui ne peut être fait durant la vie, la mort y supplée.

C’est ainsi que les choses se passent ici-bas, mais ce qui arrive là-haut est vraiment surprenant et digne de l’envie de tous les mortels.

Des pages à savourer,

Editions Résiac