Boutique - Luisa Piccarreta - Le Livre du Ciel - Tome 14 - Missionnaires de la Divine Volonté

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Dans ce quatorzième volume, nous avons les dialogues entre le Ciel et Luisa Piccarreta du 4 Février 1922 au 24 Novembre 1922. En voici quelques extraits significatifs :

Jésus me montra un endroit d’où s’élevait une fumée noire. Il me dit : «Regarde, ce sont des hommes d’état qui veulent décider du sort des nations. Mais ils agissent sans moi. Et là où je ne suis pas, il n’y a pas de lumière. Ils sont aveuglés par la fumée de leurs passions. En conséquence, aucun bien ne sortira d’eux… Pauvres nations menées par des aveugles remplis d’intérêts égoïstes ! Ces hommes passeront à l’histoire comme grotesques, capables uniquement de causer la ruine et le désordre» (p. 41-42). …«Je souffre le même sort que le soleil. Chaque moment de sa vie, le soleil vit parmi les créatures par sa lumière et sa chaleur. Il n’y a aucune fertilité qui ne vienne de lui. Par sa chaleur, il purifie la terre de ses impuretés. Ses bénéfices, qu’il déverse sur tous avec magnanimité sont incalculables. Pourtant, dans sa hauteur, il vit toujours seul. Et l’homme n’accorde même pas un merci ou un geste de gratitude au Créateur pour ce soleil. Moi aussi, je suis seul, toujours seul ! Pourtant, au milieu des hommes, je suis la lumière de leurs pensées, le son de leurs paroles, le moteur de leurs actes, les pas de leurs déplacements, les palpitations de leur coeur. L’homme ingrat me laisse seul, ne m’offrant jamais un «merci» ou un «je t’aime». Je me sens abandonné par l’intelligence de l’homme parce qu’il utilise pour ses propres fins la lumière que je lui fournis, parfois même pour m’offenser. Je suis absent des paroles de l’homme qui, souvent, me blasphème. Je suis absent des actes de l’homme qui, souvent, agit pour me donner la mort. Je suis absent des pas de l’homme ; je le suis aussi de son coeur, un coeur tourné vers la désobéissance et porté à aimer tout ce qui n’est pas de moi» (p. 65-66). «Par la vertu de ma volonté, l’homme doit revenir à moi dans le même état dans lequel je l’ai créé originellement : quand il a suivi sa propre volonté, l’homme est tombé dans l’abîme et a été transformé en une bête. En réalisant ma Volonté, il remontera à l’état que j’avais choisi pour lui. Alors, je pourrai dire : j’ai tout complété ; toute la Création a été restaurée en moi. Et je me reposerai en elle» (p. 116).

Si une âme est désireuse d’accompagner Jésus dans sa solitude, elle sera comblée de grâces. Qu’attendons-nous pour Le suivre ?