Boutique - Luisa Piccarreta - Le Livre du Ciel - Tome 13 - Missionnaires de la Divine Volonté

12,00

Dans ce treizième volume, nous avons les dialogues entre le Ciel et Luisa Piccarreta du 1er Mai 1921 au 4 Février 1922. En voici un extrait significatif où le Seigneur cherche à expliquer aux petits que nous sommes combien vivre dans Sa volonté est essentiel pour chacun de nous. Ainsi, de même que l’on ne saurait se passer d’eau, sans mourir, on ne saurait se passer de vivre dans la volonté de Dieu sans faire courir à notre âme les plus grands dangers. Voici donc ce que le Seigneur déclarait le 26 Juillet 1921 à sa confidente Luisa Piccarreta :

Ma fille, si le soleil est le roi de l’univers, si sa lumière symbolise ma majesté et sa chaleur mon amour et ma justice, de telle sorte que lorsque le soleil trouve un sol improductif, il le rend stérile en l’asséchant de ses rayons brûlants, alors l’eau peut être appelée la reine de la terre. Elle symbolise ma Volonté. Il n’y a aucun endroit où elle n’entre pas et aucune créature ne peut exister sans elle. Peut-être est-il possible de vivre sans le soleil, mais personne ne peut vivre sans l’eau. L’eau entre en tout, même dans les veines et les autres parties internes du corps humain. Dans les entrailles de la terre, elle suit son cours ininterrompu en silence. On peut dire que l’eau est non seulement la reine de la terre, mais aussi son âme. Sans l’eau, la terre serait comme un corps mort. Telle est ma Volonté : elle est non seulement la reine, mais, plus encore, l’âme de toute chose créée ; elle est la vie de chaque battement et de chaque fibre du coeur. Ma Volonté, comme l’eau, coule en tout : parfois silencieuse et cachée, parfois éloquente et visible. L’homme peut se soustraire à ma lumière, à mon amour et à ma grâce, mais jamais à ma Volonté ; ce serait comme s’il voulait vivre sans eau. Même s’il existait un homme assez fou pour détester l’eau, alors, en dépit du fait qu’il la détesterait, il serait forcé d’en boire : ce serait l’eau ou la mort.

Ma Volonté est comme cela : elle est la vie de tout, mais les créatures peuvent l’aimer ou la détester. Cependant, malgré elles, elles sont forcées de la laisser couler en elles comme le sang dans leurs veines. Essayer d’échapper à ma Volonté serait une sorte de suicide de l’âme…

Seigneur Jésus, donnez-nous la grâce de comprendre combien vivre en accomplissant Votre volonté est salutaire pour notre âme et pour que nous arrivions à la vraie sainteté.

Editions Résiac