Mercredi 2 août 2023 - Missionnaires de la Divine Volonté
De l’Évangile de Matthieu 13, 44-46
En ce temps-là, Jésus disait aux foules : « Le royaume des Cieux est comparable à un trésor caché dans un champ ; l’homme qui l’a découvert le cache de nouveau. Dans sa joie, il va vendre tout ce qu’il possède, et il achète ce champ. Ou encore : Le royaume des Cieux est comparable à un négociant qui recherche des perles fines. Ayant trouvé une perle de grande valeur, il va vendre tout ce qu’il possède, et il achète la perle. »
Le royaume des Cieux est comparable à un trésor caché dans un champ ; Mt 13, 44
Ma fille, quel grand trésor t’a été confié avec ces nombreuses vérités que je t’ai dites sur ma Divine Volonté.

 

Le livre du Ciel Tome 25, 4 novembre 1928
Comme il est beau de voir la créature, avec toutes ces lumières fixées en elle et qui ont la vertu de faire que celui qui l’a créée se lève de nouveau dans la créature, et autant de fois que des vérités se sont manifestées à elle. Et comme ce que je t’ai manifesté sur ma Divine Volonté sont d’innombrables vérités –si nombreuses que tu ne pourrais les compter, de nombreuses lumières, c’est-à-dire de nombreux rayons lumineux sont fixés en toi, qui descendent de Dieu, mais sans se détacher de son sein divin. Ces lumières forment en toi le plus bel ornement, et le plus beau don que tu puisses recevoir de Dieu. En fait, comme ces vérités sont fixées en toi, elles te donnent des droits sur les propriétés divines, droits aussi nombreux que les nombreuses vérités que je t’ai manifestées. Tu ne peux comprendre la grandeur de la dot que Dieu t’a constituée avec ces vérités qui, comme autant de lumières, sont fixées dans ton âme. Le ciel tout entier est émerveillé de voir en toi tant de lumières, toutes remplies de Vies divines. Et lorsque tu les communiques à d’autres créatures, cette lumière, s’étend pour aller se fixer dans d’autres cœurs, mais sans jamais te quitter, et y former partout la vie divine. Ma fille, quel grand trésor t’a été confié avec ces nombreuses vérités que je t’ai dites sur ma Divine Volonté ; un trésor qui a sa source dans le sein divin et qui donnera de la lumière sans jamais s’arrêter. Mes vérités sont plus que le soleil qui illumine la terre, la revêt et se fixe en elle, et en se fixant, il donne naissance, sur sa face et pour toute chose, aux effets du bien que contient sa lumière. Mais, jaloux, il ne détache pas sa lumière de son centre, et cela est si vrai que lorsqu’il se déplace pour illuminer d’autres régions, la terre demeure dans l’obscurité. Par contre, le soleil de mes vérités, sans se détacher de son centre, se fixe dans l’âme et forme en elle un jour éternel…

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :
Ecoutez : Un homme était allé par hasard dans un champ y prendre du terreau pour l’emporter dans son jardin ; en creusant avec effort le sol dur, il trouve, sous une couche de terre, un filon de métal précieux. Que fait-il donc ? Il recouvre de terre sa découverte. Il n’hésite pas à travailler davantage, car cette découverte en vaut la peine. Puis il rentre chez lui, rassemble toutes ses richesses en argent ou en objets et les vend contre une belle somme. Puis il va trouver le propriétaire du terrain et lui dit :
       “ Ton champ me plaît. Combien en veux-tu ? ”
       “ – Mais il n’est pas à vendre ”, répond l’autre.
       Mais l’homme offre des sommes toujours plus grandes, disproportionnées par rapport à la valeur du terrain, et il finit par décider le propriétaire qui se dit : “ C’est homme est fou ! Mais puisqu’il l’est, j’en profite. Je prends la somme qu’il me propose. Ce n’est pas de l’usure, puisque c’est lui qui me l’offre. Grâce à elle, je m’achèterai au moins trois autres champs, et plus beaux. ” Et il vend, persuadé d’avoir fait une excellente affaire.
       Or c’est l’autre, au contraire, qui a fait une excellente affaire, car il se prive d’objets qui auraient pu être volés, perdus ou usés, et il acquiert un trésor qui, parce qu’il est vrai, naturel, est inépuisable. Cela vaut donc la peine qu’il sacrifie ce qu’il possède pour faire cet achat : car s’il reste quelque temps avec ce seul champ pour tout bien, en réalité il possède pour toujours le trésor qu’il recèle. Tome 4 – ch 237.4