Mardi 18 octobre 2022 - Missionnaires de la Divine Volonté
De l’Évangile de Luc 10, 1-9
 ‘Le règne de Dieu s’est approché de vous.’ Lc 10,9
Tu ne feras donc rien d’autre que d’aller et venir entre le ciel et la terre afin d’aider à établir mon règne avec décorum, honneur et gloire.

 

Le livre du Ciel Tome 21, 19 mars 1927
Ma fille, si quelqu’un a reçu une mission et qu’il a eu à peine le temps de commencer à la remplir ou qu’il ne l’a pas complètement achevée et qu’à ce moment je l’appelle au ciel, c’est de là-haut qu’il complétera sa mission. C’est qu’il aura en lui dans les profondeurs de son âme le dépôt du bien de la connaissance qu’il aura acquise dans sa vie, et il le comprendra plus clairement au ciel. Et comprenant le grand bien de la connaissance du Fiat suprême, il priera et fera prier le ciel tout entier pour que mon Fiat soit connu sur la terre, et suppliera qu’une lumière plus claire soit accordée à ceux qui travailleront à le faire connaître. De plus, chaque connaissance de ma
Volonté sera une gloire de plus pour l’âme, un bonheur plus grand, et à mesure que ma Volonté deviendra connue sur la terre, la gloire et le bonheur de l’âme seront redoublés, car ce sera l’accomplissement de sa mission qu’elle désirait remplir. Il est juste qu’à mesure que sa mission s’accomplit sur la terre, elle reçoive le fruit de cette mission. C’est pourquoi je lui ai dit de se hâter. Je l’ai rendu attentif à ne pas perdre de temps, car je voulais non seulement qu’il commence, mais qu’il accomplisse une grande partie de la publication des connaissances du Fiat éternel, afin qu’il n’ait pas à tout faire du haut du ciel. Par contre, celui qui a rempli sa mission sur la terre peut dire : « Ma mission est terminée. » Quiconque n’a pas terminé sa mission sur terre doit le faire au ciel. Quant à toi, ta mission est très longue et tu ne peux pas la compléter sur la terre. Tant que toutes les connaissances sur le
Royaume de la Divine Volonté ne seront pas connues sur la terre, ta mission ne sera pas terminée. Au ciel, tu auras beaucoup à faire. Ma Volonté qui t’a fait beaucoup travailler sur la terre pour son règne ne te laissera pas sans rien faire au ciel et travaillera avec toi. Elle te tiendra toujours compagnie. Tu ne feras donc rien d’autre que d’aller et venir entre le ciel et la terre afin d’aider à établir mon règne avec décorum, honneur et gloire. Ce sera pour toi une grande satisfaction, un grand honneur et une haute gloire de voir que ta petitesse unie à ma Volonté a
transporté le ciel sur la terre et la terre au ciel. Tu ne pourrais recevoir un plus grand bonheur. Bien plus, tu verras la gloire de ton Créateur accomplie par sa créature, l’ordre rétabli, toute la Création dans sa pleine splendeur, et l’homme, notre trésor, à sa place d’honneur.

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :
Notre séjour est terminé. Le temps de la fête des Tentes approche. Ceux auxquels j’ai parlé en particulier ce matin, partiront dès demain pour me précéder et m’annoncer aux populations. Que ceux qui restent ne se découragent pas. J’ai gardé certains d’entre eux pour une raison de prudence, non par mépris à leur égard. Ils vont rester avec moi, et bientôt je les enverrai comme j’envoie les soixante-douze premiers. La moisson est abondante, et les ouvriers sont toujours peu nombreux pour le travail à faire. Il y aura donc du travail pour tous. Et ils n’y suffiront pas encore. Donc, sans jalousie, priez le Maître de la moisson d’envoyer toujours de nouveaux ouvriers pour sa moisson.
       Pour le moment, allez. Les apôtres et moi, en ces jours de repos, nous avons complété votre instruction sur le travail que vous avez à faire, en répétant ce que j’ai dit avant d’envoyer les douze.
       L’un de vous m’a demandé : “ Mais comment vais-je guérir en ton Nom ? ” Guérissez d’abord l’âme. Promettez aux malades le Royaume de Dieu s’ils savent croire en moi et, après avoir vu en eux la foi, ordonnez à la maladie de s’en aller, et elle s’en ira. Et agissez ainsi pour ceux qui sont malades spirituellement. Allumez tout d’abord la foi. Par une parole assurée, communiquez l’espérance. Je viendrai à mon tour mettre en eux la divine charité, comme je l’ai mise dans votre cœur après que vous avez cru en moi et espéré en ma miséricorde. Et n’ayez peur ni des hommes ni du démon. Ils ne vous feront aucun mal. Les seules choses que vous devez craindre, ce sont la sensualité, l’orgueil, la cupidité. Par elles, vous pourriez vous livrer à Satan et aux hommes-satans, qui existent aussi.
       Partez donc et précédez-moi sur les routes du Jourdain. Arrivés à Jérusalem, allez rejoindre les bergers dans la vallée de Bethléem, et venez me trouver avec eux à l’endroit que vous savez. Ensemble, nous célébrerons la fête sainte et reviendrons ensuite plus affermis que jamais à notre ministère.
       Allez en paix. Je vous bénis au saint Nom du Seigneur. » Tome 4 – ch 278.6