Boutique - Luisa Piccarreta - Le Livre du Ciel - Tome 11 - Missionnaires de la Divine Volonté

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Dans ce onzième volume, nous avons les dialogues entre le Ciel et Luisa Piccarreta du 14 Février 1912 au 24 Février 1917. Le Seigneur ne cache pas à sa confidente que les péchés des hommes, qui vont en grandissant, sont la cause de tous les malheurs qui atteignent l’humanité. Ainsi le 12 Août 1915, le Seigneur déclare à sa confidente :

La guerre et la grande misère ne suffisent pas pour que les gens capitulent, ils ont besoin d’être atteints dans leur propre chair. Cependant, le 3 Septembre 1913, Jésus nous permet de savoir si nous vivons dans la Divine Volonté : Un signe que l’âme vit dans la Divine Volonté est qu’elle sent le besoin de donner : Ma fille… Tu dois savoir que, quand une âme vit dans ma Volonté, elle a le sentiment de disposer de tout en abondance, ce qui correspond bien à la vérité, puisque ma Volonté contient tous les biens imaginables. Il s’ensuit qu’elle sent le besoin de donner plutôt que de recevoir, qu’elle sent qu’elle n’a besoin de rien et que, si elle veut quelque chose, elle peut prendre tout ce qu’elle veut sans même le demander. Et comme ma Volonté a un penchant irrésistible à donner, l’âme n’est heureuse que quand elle donne ; et plus elle donne, plus elle a soif de donner. Cela l’ennuie quand elle veut donner et qu’elle ne trouve personne à qui donner.

Le 17 Janvier 1917, Jésus révèle que la sainteté est à la portée de tous : La sainteté est faite de petites choses. Ce matin, mon aimable Jésus me dit : «Ma fille, la sainteté est faite de petites choses. Celui qui dédaigne les petites choses ne peut être saint. Il est comme quelqu’un qui mépriserait les petits grains de blé qui, regroupés, constituent sa nourriture. Si on négligeait de regrouper ces petits grains pour se faire de la nourriture, on serait la cause d’un manque de nourriture nécessaire à la vie corporelle. Pareillement, si on néglige de se préoccuper des petits actes pour nourrir sa sainteté, celle-ci est mal en point. Tout comme notre corps ne peut vivre sans nourriture, notre âme

Editions Résiac