Mardi 23 avril 2024 - Missionnaires de la Divine Volonté

MÉMOIRE DE LA NAISSANCE DE LA SERVANTE DE DIEU LUISA PICCARRETA : LE 23 AVRIL 1865

Et toi, ma fille, tu es également particulière devant Moi et devant l’histoire. Il n’y a pas eu
d’autres créatures avant toi et il n’y en aura pas après toi qui, par nécessité, aient été pourvues à ce point de l’assistance de mes ministres. Je t’ai choisie afin de déposer en toi les actes de ma Volonté suprême. Il était approprié, en vertu de la Sainteté de ma Volonté, que certains de mes ministres t’accompagnent et soient dépositaires des grâces que comporte ma Volonté, pour ensuite les communiquer au reste de l’Église. Il faut bien des précautions de ta part et de la part de ces ministres. En ce qui te concerne, comme une autre mère pour Moi, tu as à recevoir le grand Don de ma Volonté et tu as à en connaître tous les Mérites. En ce qui concerne mes ministres, ils doivent recevoir ces choses de toi, afin que le “Fiat Voluntas tua” sur la terre comme au Ciel soit réalisé dans mon Église. Ah! tu ne sais pas tout ce que J’ai dû te donner pour rendre possible le dépôt de ma Volonté en toi. J’ai enlevé de toi le germe de la corruption. J’ai purifié ton âme et ta nature de manière à ce que tu ne ressentes rien envers eux et eux envers toi. Ne pas avoir ce germe est comparable à du bois sans feu.
Bien que Je ne t’aie pas exemptée du péché originel comme Je l’ai fait pour ma chère Mère, J’ai fait en toi un miracle de grâces jamais accordé à aucun autre, en enlevant de toi le germe de la corruption. Il n’aurait pas été approprié que ma Volonté trois fois sainte descende dans
une âme, en prenne possession et lui communique ses Actes, si cette âme avait été maculée par la moindre corruption. Tout comme il n’aurait pas été convenable que Moi, le Verbe du Père, Je fusse conçu dans le sein de la Mère céleste sans qu’elle ait été exemptée de la faute
originelle. En conséquence, combien de grâces ne t’ai Je pas données? Tu crois que ce n’est rien et ainsi tu ne t’y arrêtes aucunement. Au lieu de me remercier, tu t’inquiètes de la façon dont J’ai disposé de toi et de ceux que J’ai placés autour de toi, alors que tout ce que Je veux, c’est que tu suives ma Volonté. Tu dois savoir que l’accomplissement de ma Volonté est si important qu’il se range parmi les décrets les plus importants de la Divinité. Tome 15, 11 juillet 1923

 

De l’Évangile de Jean 10, 22-30
On célébrait la fête de la dédicace du Temple à Jérusalem. C’était l’hiver. Jésus allait et venait dans le Temple, sous la colonnade de Salomon. Les Juifs firent cercle autour de lui ; ils lui disaient : « Combien de temps vas-tu nous tenir en haleine ? Si c’est toi le Christ, dis-le nous ouvertement ! » Jésus leur répondit : « Je vous l’ai dit, et vous ne croyez pas. Les œuvres que je fais, moi, au nom de mon Père, voilà ce qui me rend témoignage. Mais vous, vous ne croyez pas, parce que vous n’êtes pas de mes brebis. Mes brebis écoutent ma voix ; moi, je les connais, et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle : jamais elles ne périront, et personne ne les arrachera de ma main. Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tout, et personne ne peut les arracher de la main du Père. Le Père et moi, nous sommes UN. »

 

Les œuvres que je fais, moi, au nom de mon Père, voilà ce qui me rend témoignage. Jn 10, 25
Le Père et moi, nous sommes UN. Jn 10, 30
“Ma fille, sur la terre, Je n’ai fait que me livrer à la Volonté du Père.”

 

Le livre du Ciel Tome 12, 14 août 1917
 Alors que j’étais dans mon état habituel, mon doux Jésus vint et me dit : « Ma fille, sur la terre, Je n’ai fait que me livrer à la Volonté du Père. Ainsi, Si Je pensais, Je pensais avec
l’Esprit du Père. Si Je parlais, Je parlais avec la bouche du Père. Si Je travaillais, Je travaillais avec les mains du Père. Même ma respiration se faisait en lui. Tout ce que Je faisais était selon qu’Il le voulait. De telle sorte que Je peux dire que toute ma vie se déroulait en lui. Complètement immergé dans sa Volonté, Je ne faisais rien par Moi même. Ma seule pensée était sa Volonté. Je ne faisais pas attention à Moi-même. Les offenses qu’on me faisait n’interrompaient pas ma course. Mais Je volais toujours vers mon Centre. Ma vie terrestre prit fin quand J’eus accompli la Volonté du Père en toute chose. Ainsi, ma fille, si tu t’abandonnes à ma Volonté, tu n’auras plus aucune autre pensée que les miennes. Même la privation de Moi, qui te tourmente tant, trouvera le soutien et les baisers cachés de ma Vie en toi. Dans tes battements de cœur, tu ressentiras les miens, enflammés et affligés. Si tu ne me vois pas, tu me sentiras. Mes bras t’embrasseront. Combien de fois ne ressens-tu pas mon mouvement et mon souffle rafraîchir ton cœur ? Et quand, alors que tu ne me vois pas, tu veux savoir qui te tient de si près et souffle sur toi. Je te souris, Je te donne le baiser de ma Volonté Je me cache en toi pour te surprendre de nouveau et te faire avancer d’un autre pas dans ma Volonté.

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta

“Tu nous mortifies, Maître. Si tu es Maître et si nous sommes ignorants, pourquoi ne veux-tu pas nous instruire ?”
“Cela fait trois ans que je le fais, et vous êtes de plus en plus dans les ténèbres parce que vous repoussez la Lumière.”
“C’est vrai. C’est peut-être vrai. Mais ce qui a été dans le passé peut ne plus être dans l’avenir. Et quoi ? Toi qui as pitié des publicains et des courtisanes et tu absous les pécheurs, veux-tu être sans pitié pour nous, seulement parce que nous avons la tête dure et que nous avons du mal à comprendre qui tu es ?”
“Ce n’est pas que vous avez du mal. C’est que vous ne voulez pas comprendre. Être hébété ne serait pas une faute. Dieu a tant de lumières qu’il pourrait faire la lumière dans l’intelligence la plus obtuse mais pleine de bonne volonté. C’est elle qui manque en vous, et même vous avez une volonté opposée. C’est pour cela que vous ne comprenez pas qui je suis.”
“C’est peut-être comme tu dis. Tu vois comme nous sommes humbles. Mais nous t’en prions au nom de Dieu, réponds à nos questions. Ne nous tiens pas davantage en suspens. Jusqu’à quand notre esprit devra-t-il demeurer incertain ?  Si tu es le Christ, dis-le-nous ouvertement.”
“Je vous l’ai dit. Dans les maisons, sur les places, sur les routes, dans les villages, sur les monts, le long des fleuves, en face de la mer, devant les déserts, dans le Temple, dans les synagogues, sur les marchés je vous l’ai dit, et vous ne croyez pas. Il n’y a pas de lieu en Israël qui n’ait entendu ma voix.      Tome 8, chapitre 537.