Mercredi 17 janvier 2024 - Missionnaires de la Divine Volonté
De l’Évangile de Marc 3, 1-6
En ce temps- là, Jésus entra de nouveau dans une synagogue ; il y avait là un homme dont la main était atrophiée. On observait Jésus pour voir s’il le guérirait le jour du sabbat. C’était afin de pouvoir l’accuser. Il dit à l’homme qui avait la main atrophiée : « Lève-toi, viens au milieu. » Et s’adressant aux autres : « Est-il permis, le jour du sabbat, de faire le bien ou de faire le mal ? de sauver une vie ou de tuer ? » Mais eux se taisaient. Alors, promenant sur eux un regard de colère, navré de l’endurcissement de leurs cœurs, il dit à l’homme : « Étends la main. » Il l’étendit, et sa main redevint normale. Une fois sortis, les pharisiens se réunirent en conseil avec les partisans d’Hérode contre Jésus, pour voir comment le faire périr.

 

On observait Jésus pour voir s’il le guérirait le jour du sabbat. Mc 3, 2
Les sages, les savants et les dignitaires ne voulaient pas m’écouter. Ils avaient plutôt honte de s’approcher de moi. Leur doctrine leur faisait croire que je ne pouvais pas être le Messie promis, au point d’en venir à me haïr.

 

Le livre du Ciel Tome 28, 9 juillet 1930
je te dis que les connaissances de ma Divine Volonté ne resteront pas enfouies. Elles font partie de ma vie divine et cette vie n’est pas sujette à la mort. Tout au plus peuvent-elles rester cachées, mais mourir, jamais, parce qu’il est décrété par la Divinité que le Royaume de ma Divine Volonté sera connu. Et lorsque nous décrétons, aucun pouvoir humain ne peut s’y opposer. C’est tout au plus une question de temps. Et en dépit des oppositions et des jugements contraires des personnes en autorité, je ferai comme je le veux. Et si, avec leurs jugements, ils veulent enterrer un si grand bien et tant de vies divines de mes vérités, je les écarterai pour faire ce que je veux en plaçant d’autres personnes, plus humbles et plus simples, et mieux portées à croire en mes admirables et multiples manières d’en user avec les âmes. Et avec leur simplicité, étant mieux disposées, plutôt que de chercher des arguties, elles reconnaîtront que ce que j’ai manifesté sur ma Divine Volonté est un don du Ciel. Et celle-là me serviront admirablement pour propager les connaissances de mon Fiat dans le monde. N’est-ce pas ce qui s’est passé pour ma venue sur terre ? Les sages, les savants et les dignitaires ne voulaient pas m’écouter. Ils avaient plutôt honte de s’approcher de moi. Leur doctrine leur faisait croire que je ne pouvais pas être le Messie promis, au point d’en venir à me haïr. Et je les ai écartés pour choisir les humbles, les simples et les pauvres pêcheurs qui m’ont cru, et je m’en suis servi de façon admirable pour former mon Église et propager le grand bien de la Rédemption. Je ferai la même chose pour ma Divine Volonté. Ainsi, ma
fille, ne te tracasse pas en entendant parler de toutes ces difficultés qu’ils soulèvent et ne changeons rien à ce qui se passe entre toi et moi. Continue à faire dans ma Divine Volonté ce que je t’ai enseigné.

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :

 Mais le pharisien Joachim découvre un homme dans la foule et lui indique par des signes et le regard de venir au premier rang. C’est un homme d’environ cinquante ans et il a un bras atrophié devenu, même pour la main, beaucoup plus petit que l’autre, car l’atrophie a détruit les muscles.
Jésus le voit et voit tout ce qu’on a combiné pour le Lui faire voir. Il a sur le visage une expression de dégoût et de compassion qui passe comme un éclair mais qui est très visible. Pourtant il ne dévie pas le coup. Au contraire, il fait face à la situation avec fermeté.
 “Viens ici, au milieu” commande-t-il à l’homme.
Et, quand il l’a devant Lui, il se tourne vers les pharisiens et leur dit :
“Pourquoi me tentez-vous ? N’ai-je pas à peine cessé de parler contre les pièges et la haine ? Et vous, ne venez-vous pas de dire : “Nous n’avons pas ce péché” ? Vous ne répondez pas ? Répondez au moins à ceci : est-il permis de faire du bien ou du mal le jour du sabbat ? Est-il permis de sauver ou d’enlever la vie ? Vous ne répondez pas ? Moi, je répondrai pour vous, et en présence de tout le peuple qui jugera mieux que vous, parce qu’il est simple et sans haine ni orgueil. Il n’est pas permis le sabbat de faire un travail. Mais, comme il est permis de prier, de même il est permis de faire du bien, car le bien est une prière plus grande encore que les hymnes et les psaumes que nous avons chantés. Alors que ni le sabbat, ni un autre jour, il n’est permis de faire le mal. Et vous, vous l’avez fait, en manœuvrant pour avoir ici cet homme qui n’est même pas de Capharnaüm et que vous avez fait venir depuis deux jours, sachant que j’étais à Bethsaïde et pensant que je serais venu dans ma ville. Et vous l’avez fait pour essayer de me mettre en accusation. Et vous commettez ainsi le péché de tuer votre âme au lieu de la sauver. Mais pour ce qui me concerne, je vous pardonne et je ne décevrai pas la foi de cet homme que vous avez fait venir en disant que je le guérirais alors que vous vouliez me tendre un piège. Lui n’est pas coupable, car il est venu sans autre intention que celle de guérir. Et que cela soit. Homme, étends ta main et va en paix.”
278> L’homme obéit et sa main devient saine, comme l’autre. Il s’en sert tout de suite pour prendre un pan du manteau de Jésus pour le baiser en Lui disant :
“Tu sais que je ne connaissais pas leur véritable intention. Si je l’avais sue, je ne serai pas venu, préférant garder ma main morte plutôt que de m’en servir contre Toi. Ne m’en veux donc pas.”
“Va en paix, homme. Je sais la vérité, et à ton égard je n’ai que bienveillance.”  Tome 4, chapitre 263.