Mercredi 1er Juin 2022 - Missionnaires de la Divine Volonté
De l’évangile de Jean 17, 11b-19
Père saint, garde mes disciples unis dans ton nom, le nom que tu m’as donné, pour qu’ils soient un, comme nous-mêmes. Jn 17,11b
Ah ! Ma fille, ceux qui m’aiment sont unis à Moi comme les branches au tronc d’un arbre.

 

Le livre du Ciel Tome 11, 28 février 1912
« Ma fille, si l’âme est remplie de Moi jusqu’au bord, au point de déborder, c’est-à-dire si elle ne pense qu’à Moi, ne recherche que Moi, ne parle que de Moi et n’aime personne d’autre que Moi, s’il semble que rien d’autre que Moi n’existe pour elle et que tout le reste l’ennuie. Au plus, elle n’accorde que des miettes à ce qui n’est pas Dieu, par exemple aux choses nécessaires à la vie naturelle. C’est ce que font les saints. C’est ainsi que J’ai fait pour moi-même et avec les Apôtres, ne donnant que des indications sur quoi manger ou sur l’endroit où passer la nuit. Se comporter ainsi vis-à-vis de la nature ne blesse ni l’amour ni la vraie sainteté et c’est un signe qu’on n’aime que Moi. Mais si l’âme papillonne d’une chose à l’autre, pensant à moi à un moment et à quelque chose d’autre au moment d’après, parlant de moi à un moment, puis longuement de quelque chose d’autre, et ainsi de suite, cela est un signe que cette âme n’aime pas que Moi Et Je n’en suis pas heureux. Si elle ne m’accorde que sa dernière pensée, son dernier mot, sa dernière action, c’est signe qu’elle ne m’aime pas. Même si elle me donne certaines choses, ce ne sont que de misérables débris. Et c’est ainsi que font la plupart des créatures. Ah ! Ma fille, ceux qui m’aiment sont unis à Moi comme les branches au tronc d’un arbre. Peut il y avoir une séparation, un oubli ou une nourriture différente entre les branches et le tronc ? Ils ont la même vie, les mêmes buts, les mêmes fruits. Mieux
encore, le tronc est la vie des branches et les branches sont la gloire du tronc, Ils sont pareils. Pour Moi, elles sont les âmes qui m’aiment.

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :

 

Jésus se lève, ouvre les bras en croix et dit avec un visage lumineux la sublime prière au Père. Jean la rapporte intégralement. (Jean 17). Tome 9, chapitre 600.