Lundi 9 mai 2022 - Missionnaires de la Divine Volonté
De l’évangile de Jean 10, 1-10
Moi, je suis la porte des brebis. Jn ,710
La correspondance à mes grâces est la porte qui me laisse entrer dans un cœur pour y faire ma demeure.

 

Le livre du Ciel Tome 2, 2 août 1899
«Regarde toutes les grâces que Je devais déverser sur les créatures. Comme elles n’y correspondent pas, Je suis forcé de les retenir. Pire encore, elles m’obligent à changer ces grâces en châtiments. Sois attentive, ô ma fille, afin de bien correspondre aux multiples grâces que Je déverse en toi. Car la correspondance à mes grâces est la
porte qui me laisse entrer dans un coeur pour y faire ma demeure. Cette correspondance est comme cet accueil chaleureux et affable que l’on donne quand quelqu’un vient nous visiter, de telle sorte qu’attiré par ces politesses, le visiteur se sent obligé de revenir et se sent même incapable de partir. 72 Tout est dans l’accueil à mon égard Suivant la façon dont les âmes m’accueillent et me traitent sur la terre, Je les accueillerai et Je les traiterai au ciel. En leur ouvrant toutes grandes les portes du ciel, J’inviterai toute la cour céleste à venir les accueillir et Je les ferai asseoir sur les trônes les plus sublimes. Pour les âmes qui n’auront pas correspondu à mes grâces, ce sera le contraire. »

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :

 

 Je suis venu pour les conduire, les y introduire et pour qu’ils voient. Je suis moi-même la Porte par laquelle on accède à la maison du Père, au Royaume de Dieu, à la Lumière, au Chemin, à la Vérité, à la Vie. Et je suis aussi celui qui est venu pour rassembler le troupeau resté sans guide et le mener dans un unique bercail : celui du Père. Je connais la porte du bercail, car je suis en même temps la Porte et le Berger ; j’y entre et en sors comme et quand je veux. J’y entre librement, en passant par la porte, car je suis le vrai Berger.
       Quand quelqu’un vient donner aux brebis de Dieu d’autres indications, ou cherche à les dévoyer en les amenant à d’autres demeures et par d’autres chemins, ce n’est pas le bon Berger, mais un faux. De même, celui qui n’entre pas par la porte du bercail, mais essaie d’y pénétrer par un autre endroit en sautant par dessus la clôture, n’est pas le berger, mais un voleur et un assassin : car il a l’intention de voler et de tuer, pour que les agneaux qu’il prend n’aient pas de voix pour se plaindre et n’attirent pas l’attention des gardiens et du berger. Même parmi les brebis du troupeau d’Israël, de faux bergers cherchent à s’insinuer pour les faire sortir des pâturages, loin du vrai Berger. Ils sont prêts à les arracher au troupeau par la violence, et à l’occasion, ils sont même disposés à les tuer et à les frapper de bien des manières, pour les empêcher de parler, de raconter au Berger les ruses des faux bergers, et de crier vers Dieu de les protéger contre leurs adversaires et les adversaires du Berger. Tome 8 – ch 518.4