Mercredi 2 février 2022 - Missionnaires de la Divine Volonté
De l’évangile de Luc 2, 22-40
Car mes yeux ont vu ton salut.. Luc 2,30
Oh ! Combien il fut plus facile pour moi d’implorer pour le salut de l’homme que de refaire son intérieur dans ma Divine Volonté !

 

Le livre du Ciel Tome 16, 13 août 1923
Oh ! Combien il fut plus facile pour moi d’implorer pour le salut de l’homme que de refaire son intérieur dans ma Divine Volonté ! Et si je n’avais pas fait cela, la Rédemption n’aurait pas été complète, n’aurait pas été un travail digne d’un Dieu. Je n’aurais ni renouvelé toutes les parties de l’homme, ni restauré en lui la sainteté qu’il avait perdue en brisant ses relations avec la Divine Volonté. Le projet est déjà réalisé. Mais avant de le faire connaître, il est d’abord nécessaire que l’homme sache que, par ma Vie et ma Passion, il peut obtenir le pardon et le salut. Cela le dispose à apprendre par la suite comment j’ai imploré pour lui la chose la plus grande et la plus importante : le retour de sa volonté dans la mienne afin que sa noblesse soit retrouvée, que les ponts entre sa volonté et la mienne soient refaits et qu’il retrouve ainsi son état original. « Ma fille, ma Sagesse éternelle avait décrété qu’une céleste créature, la plus sainte de toutes, allait être à l’origine de la nouvelle élévation de l’homme dans ma Divine Volonté. Maintenant, par le moyen d’une autre créature, laquelle je veux faire entrer dans les éternelles demeures de ma Volonté en liant sa volonté à la mienne, en l’unissant à tous mes actes, en ramenant son intérieur dans le Soleil de mon Éternelle Volonté, Je veux ouvrir le champ de ce projet aux générations, de telle sorte que quiconque le voudra puisse y accéder. Et si, jusqu’à présent, les créatures ont pu profiter des biens de la Rédemption, elles pourront dorénavant aller plus loin et profiter des fruits du: “que ta Volonté soit faite sur la terre comme au Ciel” et retrouver ce bonheur perdu, cette noblesse et cette paix toute céleste que, en faisant sa volonté, l’homme a fait disparaître de la surface de la terre.

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :

 Il y a des gens, des curieux qui regardent. Parmi eux se dégage un petit vieux, courbé qui marche péniblement en s’appuyant sur une canne, Il doit être très vieux, je dirais plus qu’octogénaire. Il s’approche de Marie et lui demande de lui donner pour un instant le Bébé. Marie le satisfait en souriant.

C’est Syméon, j’avais toujours cru qu’il appartenait à la caste sacerdotale et au contraire, c’est un simple fidèle, à en juger du moins par son vêtement. Il prend l’Enfant, l’embrasse. Jésus lui sourit avec la physionomie incertaine des nourrissons. Il semble qu’il l’observe curieusement, parce que le petit vieux pleure et rit à la fois et les larmes font sur sa figure des dessins emperlés en s’insinuant entre les rides et retombant sur la barbe longue et blanche vers laquelle Jésus tend les mains : C’est Jésus, mais c’est toujours un petit bébé et, ce qui remue devant luiattire son attention et lui donne des velléités de se saisir de la chose pour mieux voir ce que c’est. Marie et Joseph sourient, et aussi les personnes présentes qui louent la beauté du Bébé.

210>  J’entends les paroles du saint vieillard[2] et je vois le regard étonné de Joseph, l’émotion de Marie, les réactions du petit groupe des personnes présentes, les unes étonnées et émues aux paroles du vieillard[3], les autres prises d’un fou rire. Parmi ces derniers se trouvent des hommes barbus et de hautains membres du Sanhédrin qui hochent la tête. Ils regardent Syméon avec une ironique pitié.

Ils doivent penser que son grand âge lui a fait perdre la tête.   Tome 1, chapitre 32.