Mardi 29 Décembre - Missionnaires de la Divine Volonté
« Quand fut accompli le temps prescrit par la loi de Moïse pour la purification, les parents de Jésus l’amenèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur.» Saint Luc (2.22-35)
« Au moment où les parents présentaient l’enfant Jésus pour se conformer au rite de la Loi qui le concernait, Syméon reçut l’enfant dans ses bras, et il bénit Dieu…[…] je suis allé me présenter au temple pour me révéler au vieux Siméon. Il était la première cité que j’appelais à la connaissance de mon Royaume…»
Le Livre du Ciel Tome 22, 8 septembre 1927
« Ma fille, quarante est un nombre symbolique et significatif dans ma vie ici-bas. À ma naissance, je suis resté quarante jours dans la grotte de Bethléem symbole de ma Divine Volonté qui, quoique présente au milieu des créatures, était comme cachée et en dehors de la cité de leur âme. Et moi, afin de réparer pour les quarante siècles de volonté humaine, je voulais rester en dehors de la cité pendant quarante jours, dans un misérable refuge, pleurant, gémissant et priant afin de ramener ma Divine Volonté dans la cité des âmes pour lui rendre son Empire. Et après quarante jours, je suis allé me présenter au temple pour me révéler au vieux Siméon. Il était la première cité que j’appelais à la connaissance de mon Royaume ; et sa joie fut si grande qu’il ferma les yeux à la terre pour les ouvrir à l’éternité. J’ai passé quarante jours dans le désert, et j’ai ensuite commencé immédiatement ma vie publique pour leur donner les remèdes et les moyens de parvenir au Royaume de ma Volonté. Durant quarante jours je suis resté sur terre après ma Résurrection, pour confirmer le royaume du divin Fiat et ses quarante siècles de Royauté qu’il devait posséder. Ainsi, en tout ce que j’ai fait ici-bas, le premier acte fut la restauration du Royaume ; toutes les autres choses arrivaient en deuxième lieu, car le premier acte de connexion entre moi et les créatures fut le Royaume de ma Volonté. C’est pourquoi, lorsqu’il est question de ma Volonté, je ne m’épargne rien, ni la lumière, ni les sacrifices, ni les manifestations, ni le bonheur ce sont des mers que je libère de moi-même afin de la faire connaître, de la faire régner et de la faire aimer. »