Dimanche 13 Décembre - Missionnaires de la Divine Volonté
Il répondit : « Je suis la voix de celui qui crie dans le désert : Redressez le chemin du Seigneur, comme a dit le prophète Isaïe. » Saint Jean (1,6-8.19-28)
« Je suis la voix de celui qui crie dans le désert : Redressez le chemin du Seigneur, comme a dit le prophète Isaïe. […] les prophètes, fidèles exécuteurs de mes manifestations, servaient de hérauts en manifestant aux peuples, par leurs paroles, ce que j’avais manifesté concernant ma venue sur terre…»
Le Livre du Ciel Tome 25, 13 janvier 1929
« Lorsqu’un bienfait qui doit être reçu est universel, il faut la force d’un peuple pour le demander ; par contre, lorsqu’il est individuel ou local, un seul peut suffire pour l’obtenir. Par conséquent, avant de venir sur terre et d’être conçu dans la Souveraine Reine du Ciel, je peux dire que j’ai été conçu dans l’esprit des prophètes, et j’ai confirmé et donné de la valeur à cette sorte de conception en eux par mes manifestations à propos du temps et de la manière dont je devais venir sur terre pour racheter l’humanité. Et les prophètes, fidèles exécuteurs de mes manifestations, servaient de hérauts en manifestant aux peuples, par leurs paroles, ce que j’avais manifesté concernant ma venue sur terre ; et en me concevant dans les paroles, ils ont fait courir de bouche en bouche la nouvelle que le Verbe voulait venir sur terre. Ainsi, j’ai été conçu non seulement dans la parole des prophètes, mais aussi dans la parole du peuple de sorte que tous en parlaient, priaient et attendaient avec ardeur le futur Rédempteur. Et lorsque la nouvelle de ma venue sur terre fut diffusée parmi les peuples, c’est presque un peuple tout entier qui, avec les prophètes à sa tête, pria et attendit dans les larmes et la pénitence et alors seulement, étant comme conçu dans leurs volontés, j’ai permis à la Reine de prendre vie, elle en qui je devais être conçu en réalité afin de faire mon entrée dans un peuple qui avait langui après moi et me désirait depuis quarante siècles. Quel crime les prophètes n’auraient-ils pas commis s’ils avaient caché et gardé pour eux mes manifestations sur ma venue. Ils auraient empêché ma conception dans l’esprit, les prières, les paroles et les œuvres du peuple – condition nécessaire pour que Dieu puisse concéder un bien universel, ma venue sur la terre. »