QUEL BONHEUR POUR NOUS MES AMIS ! - Missionnaires de la Divine Volonté

Homélie de mardi 1er Décembre 2020: Lc 10, 21-24

« Après quoi mon aimable Jésus se fit voir sous les traits d’un petit enfant qui, jetant ses bras autour de mon cou, me dit :
Ma maman, ma maman… Celle qui fait ma Divine Volonté devient mère, mon Divin Fiat l’embellit pour moi, la transforme et la rend féconde de façon à lui donner toutes les qualités pour être une vraie mère. Et continue à former cette mère avec les reflets du Soleil de ma Divine Volonté, et j’exulte et Je prends grand plaisir à l’appeler ma maman, ma maman… Et non seulement Je la choisis comme mère, mais j’appelle un grand nombre de tout petits pour les donner à ma mère afin qu’elle soit leur mère.
Et en disant cela, Il m’a montré en grand nombre de petits garçons et de petites filles autour de moi; et l’Enfant Jésus leur dit :
Voici ma mère et votre maman. Tous ces petits étaient en fête et m’entouraient avec Jésus qui ajouta : Ces petits que tu vois ne sont rien d’autre que la première cohorte des enfants de ma Divine Volonté. En elle, tous seront petits parce que la Divine Volonté a la vertu de préserver leur fraîcheur et leur beauté, tout comme ils sont sortis de Nos mains créatrices. Et comme Elle a appelé ta petitesse à vivre en Elle, il est juste que, étant la première, tu sois la petite maman de ces tout petits enfants »
Vol 25, 14 novembre 1928
« Douce Maman, aux côtés de Jésus, je dépose dans tes bras toutes les âmes afin que tu les reconnaisses toutes comme tes enfants, les inscrives un à un dans ton Cœur et les places dans les plaies de Jésus. Ils sont les enfants de ton immense douleur et cela est assez pour que tu les reconnaisses et les aimes. Je veux placer toutes les générations dans la Suprême Volonté de telle sorte que personne ne manque et, au nom de toutes, je te réconforte et compatis avec toi. »
À ce moment, mon doux Jésus bougea en moi en me disant : « Ma fille, si tu savais avec quelle nourriture ma Mère attristée nourrissait tous ses enfants ! » Je lui répondis : « Qu’était cette nourriture, ô mon Jésus ? » Il poursuivit : « Puisque tu es ma petite choisie par moi pour la mission de ma Volonté, et que tu es dans le Fiat par lequel tu as été créée, je veux te faire connaître l’histoire de mon Éternelle Volonté, ses joies, ses souffrances, ses effets, son immense valeur, ce que je fis, ce que je reçus, et la personne qui avait à cœur de la défendre.
« Les petits me prêtent plus d’attention parce que leur esprit n’est pas rempli par autre chose ; ils sont comme vides de tout, et si quelqu’un veut leur donner une autre nourriture, ils en sont dégoûtés parce que, étant petits, il ont l’habitude de ne prendre que le lait de ma Volonté, cette Volonté qui, plus que dans le cas d’une mère aimante, les garde attachés à sa divine poitrine pour les nourrir abondamment. Et ils gardent leur petite bouche ouverte dans l’attente du lait de mes enseignements, ce qui m’amuse beaucoup. Oh ! comme ils sont beaux à voir, tantôt souriants, tantôt jubilants, tantôt en pleurs, pendant que je leur raconte l’histoire de ma Volonté.
Vol 16, 24 novembre 1923