Devant le désarroi et la profonde souffrance de Luisa face à ses persécuteurs, Jésus l’encourage et lui révèle l’indispensable présence de ces paratonnerres que sont ces âmes réparatrices, entièrement et librement données à leur Sauveur.
« Parce que tu dois savoir que rien ne peut apaiser ma justice et changer les plus grands châtiments en rescrits de grâce, sinon la souffrance volontaire. Et les vraies victimes ne sont pas celles qui souffrent par nécessité, par maladie ou par accident, car le monde est rempli de ces souffrances. Les vraies victimes sont celles qui ont volontairement accepté de souffrir ce que je veux qu’elles souffrent, et comme je le veux, ce sont elles les victimes qui me ressemblent. »
Ainsi, « un quart d’heure de souffrances volontaires surpasse les plus atroces souffrances du monde parce que ces dernières sont d’ordre humain, alors que les souffrances volontaires sont d’ordre divin ».
De même, le Créateur, dans son travail, a besoin des actes (prières et sacrifices) des créatures comme un petit point d’appui où déposer ses œuvres. Et Jésus révèle qu’Il est « entouré de la magnificence de ses œuvres, mais avec la souffrance qu’elles ne soient pas prises et que beaucoup ne soient même pas connues des créatures. »
Jésus poursuit son enseignement en révélant comment la Création manifeste la paternité divine et incite doucement le lecteur à entrer dans la Divine Volonté par les descriptions de la beauté de l’âme qui vit en elle, véritable sourire du ciel sur la terre.
Laissons nous convaincre et n’ayons pas peur !