Jeudi 25 avril 2024 - Missionnaires de la Divine Volonté

SAINT MARC ÉVANGÉLISTE : ON LUI ATTRIBUE LE DEUXIÈME ÉVANGILE, IL ACCOMPAGNA SAINT PAUL ET SAINT PIERRE DANS LEURS VOYAGES.

De l’Évangile de Marc 16, 15-20
En ce temps-là, Jésus ressuscité se manifesta aux onze Apôtres et leur dit : « Allez dans le monde entier. Proclamez l’Évangile à toute la création.
Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé ; celui qui refusera de croire sera condamné. 
Voici les signes qui accompagneront ceux qui deviendront croyants : en mon nom, ils expulseront les démons ; ils parleront en langues nouvelles ; 
ils prendront des serpents dans leurs mains et, s’ils boivent un poison mortel, il ne leur fera pas de mal ; ils imposeront les mains aux malades, et les malades s’en trouveront bien. » 
Le Seigneur Jésus, après leur avoir parlé, fut enlevé au ciel et s’assit à la droite de Dieu. 
Quant à eux, ils s’en allèrent proclamer partout l’Évangile. Le Seigneur travaillait avec eux et confirmait la Parole par les signes qui l’accompagnaient. 

 

Allez dans le monde entier. Proclamez l’Évangile à toute la création.Mc 16, 15
Les vérités sur mon Fiat sont le nouvel Évangile du Royaume de ma Divine Volonté.

 

Le livre du Ciel Tome 24, 23 août 1928
Je m’inquiétais concernant la publication des écrits sur la Volonté de Dieu, particulièrement concernant certaines différences ; et comme je priais,mon doux Jésus se fit voir tenant son
Cœur entre ses mains, tant il avait de la peine ; et, tout attristé, il me dit : Ma fille, comme j’ai de la peine. Ils auraient dû se considérer honorés, ils auraient dû être fiers et se glorifier de se présenter comme ceux qui ont eu le grand honneur de publier les vérités sur ma sainte Volonté. Je n’aurais pu leur faire un plus grand honneur et une plus grande gloire qu’en les appelant à une fonction si grande, et au lieu de cela, ils veulent se cacher. Comme mon Cœur souffre ;  j’ai tant de peine que je ne peux la contenir. Les vérités sur mon Fiat sont le nouvel Évangile du Royaume de ma Divine Volonté, dans lequel ils trouveront les normes, le
soleil, les enseignements sur la manière de s’ennoblir, de s’élever jusqu’à leur origine, et d’accéder à l’état qui leur fut donné au commencement de la Création. Ils trouveront l’Évangile qui, en les prenant par la main, les conduira au vrai bonheur, à la paix constante.
La seule loi sera ma Volonté qui, avec son pinceau d’amour, trempé dans les couleurs vivantes de sa Lumière, rendra à l’homme sa ressemblance avec son Créateur. Oh ! combien ils auraient dû désirer recevoir et faire connaître un bien si grand ! Mais au lieu de cela… c’est tout le contraire. Dans la Rédemption, les Évangélistes se considéraient honorés de se
présenter comme ceux qui annonçaient l’Évangile, afin qu’il soit connu dans le monde entier ; et ils signaient leur nom avec gloire, si bien que lorsque l’Évangile est prêché, on dit d’abord le nom de celui qui l’a écrit, et ensuite on lit l’Évangile. C’est ce que je veux qu’on fasse avec les vérités sur ma Volonté et que chacun connaisse ceux qui ont apporté tant de bien dans le monde. Et pourquoi tout cela ? À cause de la prudence humaine. Ah ! combien d’œuvres divines ont connu l’échec auprès des créatures à cause de la prudence humaine ! Comme des paresseux, ils ont fini par se retirer des œuvres les plus saintes. Mais ma
Volonté sait comment triompher de tout et se moquer d’eux ; cependant, je ne peux cacher ma tristesse face à une telle ingratitude humaine devant un si grand bien.

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta

Jésus est parmi eux. Je n’ai pas vu quand ni d’où il est apparu. On dirait que c’est du côté du mont qui est inaccessible. Il resplendit d’amour dans la grande lumière de midi et il déclare :
     « Celui qui demeure en moi ne subira aucun méfait de la part du Malin. En vérité, je vous dis que ceux qui seront unis à moi pour servir le Très-Haut, dont le désir est le salut de tous les hommes, pourront chasser les démons, rendre inoffensifs reptiles et venins, passer au milieu des fauves et des flammes sans subir de dommage, tant que Dieu voudra qu’ils restent sur la terre pour le servir. Tome 10 – ch 631.8