De l’Évangile de Luc 21, 29-33
En ce temps-là, Jésus dit à ses disciples cette parabole : « Voyez le figuier et tous les autres arbres. Regardez-les : dès qu’ils bourgeonnent, vous savez que l’été est tout proche. De même, vous aussi, lorsque vous verrez arriver cela, sachez que le royaume de Dieu est proche. Amen, je vous le dis : cette génération ne passera pas sans que tout cela n’arrive. Le ciel et la terre passeront, mes paroles ne passeront pas. »
Le ciel et la terre passeront, mes paroles ne passeront pas. Lc 21,33
Mes paroles sont de la vie que je fais sortir de moi, et la vie doit trouver sa place et produire ses effets.
Le livre du Ciel Tome 23, 18 décembre 1927
Ma fille, chaque prophétie que j’ai faite à mes prophètes concernant ma venue sur terre était comme une promesse que je faisais aux créatures de venir parmi elles. Et les prophètes, en les manifestant, disposaient le peuple à
désirer et à vouloir un si grand bien. Et le peuple, en recevant ces prophéties, recevait le dépôt de la promesse. Et en manifestant le temps et le lieu de ma naissance, j’augmentais le dépôt de la promesse. C’est ce que je fais avec le Royaume de ma Volonté. Chacune des manifestations concernant mon divin Fiat est une promesse que je fais. Chaque connaissance ajoute une promesse et si j’ai fait ces promesses, c’est le signe que tout comme le Royaume de ma Rédemption est venu, le Royaume de ma Volonté viendra lui aussi. Mes paroles sont de la vie que je fais sortir de moi, et la vie doit trouver sa place et produire ses effets. Crois-tu qu’une manifestation de plus ou de moins soit peu de chose ? C’est une promesse de plus que fait un Dieu. Et nos promesses ne peuvent se perdre. Et plus nous faisons de promesses, plus le temps est proche où elles seront toutes réalisées et mises en sûreté. C’est
pourquoi j’exige de toi la plus grande attention afin que rien ne t’échappe. Sinon, une promesse divine pourrait t’échapper, ce qui entraînerait des conséquences.
Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :
Alors, dans le firmament obscurci, apparaîtra de manière fulgurante le signe du Fils de l’homme ; toutes les nations de la terre pleureront, et les hommes verront le Fils de l’homme venir sur les nuées avec grande puissance et grande gloire.
Il ordonnera à ses anges de moissonner et de vendanger, de séparer l’ivraie du bon grain et de jeter le raisin dans la cuve : car le temps de la grande récolte des descendants d’Adam sera venu. Il ne sera plus nécessaire de garder des grappillons ou de la semence, car l’espèce humaine ne se perpétuera plus jamais sur la terre morte. Et il commandera à ses anges de rassembler au son des trompettes les élus des quatre vents, d’une extrémité à l’autre du ciel pour qu’ils prennent place à côté du divin Juge pour juger avec lui les derniers vivants et ceux qui seront ressuscités.
Regardez le figuier : quand vous voyez ses branches s’attendrir et des feuilles pousser, vous savez que l’été est proche. De même, quand vous verrez tous ces signes, sachez que le Christ va venir. En vérité, je vous le dis : cette génération qui n’a pas voulu de moi ne passera pas avant que tout cela n’arrive.
Ma parole ne sera pas prise en défaut. Ce que je dis sera. Le cœur et la pensée des hommes peuvent changer, mais ma parole est immuable. Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront pas. Quant au jour et à l’heure précise, personne ne les connaît, pas même les anges du Seigneur, mais le Père seul. Tome 9 – ch 596.45