Je suis venu apporter un feu sur la terre, et comme je voudrais qu’il soit déjà allumé ! Lc 12,49
Sans la vie de ma Volonté, Il n’y aura plus ce qui ranime le feu divin, ce qui tue d’un seul coup toutes les passions et ressuscite toutes les vertus.
Le livre du Ciel Tome 21, 4 avril 1926
Ma fille, ma Résurrection, compléta, scella, me rendit tous les honneurs appela à la vie toutes les oeuvres que
Je fis tout au long de ma vie sur la terre et forma le germe de la résurrection des âmes et même des corps dans le jugement universel. Car, sans ma Résurrection, ma Rédemption aurait été incomplète et mes
plus belles œuvres enterrées. Ainsi, si l’âme ne ressuscite pas entièrement dans ma Volonté, ses œuvres restent incomplètes et, si le froid s’insinue dans les choses divines, elle sera dévastée par les passions, tyrannisée par les vices qui prépareront la tombe où l’enterrer Puisque, sans la vie de ma Volonté, Il n’y aura plus ce qui ranime le feu divin, ce qui tue d’un seul coup toutes les passions et ressuscite toutes les vertus. Ma Volonté est plus qu’un Soleil. Elle éclipse, féconde tout. Elle transforme chaque chose en lumière et forme la complète résurrection de l’âme en Dieu.”
Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :
Ne pensez pas que je sois venu établir la concorde sur la terre et à travers la terre. Ma Paix est plus élevée que les paix faites par calcul pour se tirer d’affaire jour après jour. Je ne suis pas venu apporter la paix mais le glaive. Le glaive tranchant pour couper les lianes qui retiennent dans la boue et ouvrir les chemins aux vols du surnaturel. Je suis donc venu séparer le fils du père, la fille de la mère, la bru de la belle-mère. Car je suis celui qui règne et qui a tous les droits sur ses sujets. Car personne n’est plus grand que Moi quand il s’agit des droits sur les affections. Car c’est en Moi que tous les amours se centralisent et se subliment : Moi je suis Père, Mère, Époux, Frère, Ami et je vous aime comme tel, et comme tel je dois être aimé. Et quand je dis : “Je veux”, il n’y a pas de lien qui puisse résister et la créature est mienne. C’est Moi qui l’ai créée avec le Père, c’est par Moi-même que je la sauve et Moi j’ai le droit de la posséder. Tome 4, chapitre 265.