« D’un autre côté, si la lumière divine ne décèle pas de stabilité dans l’âme, elle ne lui envoie pas la lumière nécessaire pour l’aider à éviter telle chose ou à faire telle autre. Il pourrait bien y avoir des moments de malchance ou d’abandon chez la créature et aussi des moments où elle voudrait changer de vie, mais, immédiatement, sa volonté humaine change. En somme, au lieu d’une véritable bonne volonté, il y a un mélange de passions s’activant selon les vents. La stabilité révèle le progrès de la vie divine dans l’âme, car, puisque Dieu est immuable, celui qui possède Dieu partage son immuabilité dans le bien.» Vol 6, 22 juillet 1904