Jeudi 6 janvier 2022 - Missionnaires de la Divine Volonté
De l’évangile de Luc 4, 14-22a
Tous lui rendaient témoignage et s’étonnaient des paroles de grâce qui sortaient de sa bouche. Lc 4,22
Je confirme que chaque parole et manifestation que tu reçois sur mon Fiat éternel est le plus grand des
miracles qui servira le Royaume de ma Volonté.

 

Le livre du ciel Tome 20, 22 octobre 1926
Ma fille, quel est selon toi le plus grand miracle lorsque je suis venu sur terre : ma parole, l’Évangile que j’ai annoncé, ou le fait que j’aie rendu la vie aux morts, la vue aux aveugles, l’ouïe aux sourds, etc. ? Ah ! ma fille, ma parole, mon Évangile, fut un plus grand miracle ; d’autant plus que les miracles eux-mêmes sont sortis de ma
parole. Le fondement, la substance de tous les miracles sortit de ma parole créatrice. Les Sacrements, la Création elle-même, miracles permanents, avaient la vie de ma parole ; et mon Église elle-même a ma parole, mon Évangile, comme régime et comme fondement. Ainsi, ma parole, mon Évangile, était un plus grand miracle que les miracles eux-mêmes qui n’avaient la vie qu’à cause de ma parole miraculeuse. Par conséquent, sois certaine que la parole de ton Jésus est le plus grand miracle. Ma parole est comme un vent puissant qui court, martèle l’ouïe, entre dans les cœurs, réchauffe, purifie, illumine, passe de nation à nation ; il couvre le monde entier et parcourt tous les siècles. Qui pourrait tuer et enterrer une seule de mes paroles ? Personne. Et s’il semble parfois que ma parole soit silencieuse et comme cachée, elle ne perd jamais la vie. Lorsqu’on s’y attend le moins, elle sort et se fait entendre partout. Des siècles vont passer durant lesquels tout –les hommes et les choses –sera englouti et disparaîtra, mais ma parole ne passera jamais parce qu’elle contient la Vie –le pouvoir miraculeux de Celui d’où elle est sortie. Par conséquent, je confirme que chaque parole et manifestation que tu reçois sur mon Fiat éternel est le plus grand des
miracles qui servira le Royaume de ma Volonté. Et c’est pourquoi je te presse tellement et que je tiens tant à ce que chacune de mes paroles soit manifestée et écrite –parce que j’y vois un miracle qui me revient et qui apportera tant de bien aux enfants du Royaume du Fiat suprême.

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :

Après la lecture, le rabbin tourne son regard sur la foule, comme en une muette invitation. Jésus s’avance et demande de tenir la réunion, aujourd’hui.

 J’entends, de sa belle voix, lire le passage d’Isaïe cité par l’Évangile : “L’esprit du Seigneur est sur moi… [3]” Et j’entends le commentaire qu’il en fait en se donnant pour “le porteur de la Bonne Nouvelle, de la loi d’amour qui remplace l’ancienne rigueur par la miséricorde, pour qu’obtiennent le salut tous ceux dont la faute d’Adam rend l’esprit malade et, par contrecoup, la chair, car le péché engendre le vice, et le vice la maladie même physique. Et pour que tous ceux que retient prisonniers l’Esprit du mal obtiennent leur libération. Je suis venu pour rompre ces chaînes et rouvrir le chemin du Ciel, pour donner la lumière aux âmes aveuglée et l’ouïe aux âmes sourdes. Il est venu le temps de la Grâce du Seigneur. Elle est parmi vous, c’est Elle qui vous parle. Les Patriarches ont désiré voir ce jour, dont la voix du Très-Haut a proclamé l’existence et dont les Prophètes ont prédit le temps. Et déjà portée à leur connaissance par une action surnaturelle, ils savent que l’aube de ce jour s’est levée et que leur entrée au Paradis est proche désormais. Ils en exultent, dans leurs esprits, les saints auxquels il ne manque que ma bénédiction pour être citoyens du Ciel. Vous le voyez. Venez à la Lumière qui s’est levée. Dépouillez-vous de vos passions, afin d’avoir l’agilité qu’il faut pour suivre le Christ.   Tome 2, chapitre 106.