Dimanche 5 décembre 2021 - Missionnaires de la Divine Volonté
De l’évangile de Luc 3, 1-6
Préparez le chemin du Seigneur, rendez droits ses sentiers. Lc 3,4
Il est par conséquent nécessaire de former les chemins, les portes de sécurité, les clés d’or non forgées avec un métal quelconque, afin de faciliter l’entrée dans le Royaume de ma Volonté.

 

Le livre du Ciel Tome 21, 3 février 1927
Ma fille, chaque parole additionnelle sur ma Volonté peut être une clef de plus pour ouvrir le Royaume du Fiat suprême. Chaque connaissance peut-être une nouvelle porte pour faciliter l’entrée aux enfants de son
Royaume. Chaque comparaison concernant ma Volonté est un chemin de plus qui est formé afin de faciliter les communications de ce Royaume. La plus petite chose concernant mon Fiat est une palpitation de son cœur que je veux former au sein des enfants de son Royaume ; et il n’est pas approprié, ma fille, d’étouffer cette palpitation. Ce battement de cœur apportera une vie nouvelle et divine, bilocalisée de ce battement de cœur, pour le bonheur de ceux qui auront la bonne fortune de posséder ce Royaume. Ne sais-tu pas que pour pouvoir dire qu’un royaume existe, il faut premièrement le former, et ensuite dire qu’il existe ? Il est par conséquent nécessaire de former les chemins, les portes de sécurité, les clés d’or non forgées avec un métal quelconque, afin de faciliter l’entrée dans le Royaume de ma Volonté. Un chemin de moins, une clef introuvable, une porte fermée à clef peuvent rendre
l’entrée dans ce Royaume plus difficile. Par conséquent, tout ce que je te dis sert non seulement à former ce Royaume, mais aussi à faciliter le travail de celles qui veulent le posséder. Ainsi, la fille première-née de ma Volonté doit s’efforcer de faciliter tout ce qui concerne le Royaume du Fiat éternel.

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :

Enseignement de Jésus :

« Jean n’avait pas besoin de signe pour lui-même. Son âme, sanctifiée dès le sein de sa mère, possédait cette vue de l’intelligence surnaturelle qui aurait été le lot de tous les hommes sans la faute d’Adam.

Si l’homme était resté en état de grâce, dans l’innocence et la fidélité à son Créateur, il aurait reconnu Dieu à travers les apparences extérieures. Il est dit dans la Genèse que le Seigneur Dieu parlait familièrement avec l’homme innocent et que l’homme, loin de s’évanouir au son de cette voix, la discernait sans se tromper. Tel était le destin de l’homme : voir et comprendre Dieu, comme un fils à l’égard de son père. Puis la faute est venue et l’homme n’a plus osé regarder Dieu, il n’a plus su découvrir et comprendre Dieu. Et il le sait de moins en moins.

Mais Jean, mon cousin Jean, avait été purifié de la faute quand la Pleine de Grâce s’était penchée avec amour pour embrasser celle qui, de stérile, était devenue féconde, Elisabeth. Le bébé avait tressailli de joie dans son sein en sentant les écailles de la faute tomber de son âme comme une croûte tombe d’une plaie au moment de la guérison. L’Esprit Saint, qui avait fait de Marie la Mère du Sauveur, commença son œuvre de salut à travers Marie, Ciboire vivant du Salut incarné pour cet enfant qui allait naître et était destiné à m’être uni, moins par le sang que par la mission qui fit de nous comme les lèvres qui forment la parole. Jean était les lèvres et moi la Parole. Il était le Précurseur dans l’Évangile et par sa destinée de martyr. Moi, celui qui transmet ma divine perfection à l’Évangile inauguré par Jean et son martyre pour la défense de la Loi de Dieu. Tome 1 – ch 45.6