De l’évangile de Marc, 13, 24-32
Il enverra les anges pour rassembler les élus des quatre coins du monde..
Tout devait avoir sa continuation jusqu’à la fin des siècles pour parvenir au Ciel et rendre
éternellement heureux tous les élus.
Le livre du Ciel Tome 17, 25 juin 1925
« Je veux te dire quelque chose de consolant pour toi et de très glorieux pour moi. Quand tu mourras dans le temps, il t’arrivera ce qui m’est arrivé à ma mort. Pendant ma vie, j’ai travaillé, prié, prêché, institué les sacrements, souffert des peines inouïes, y compris la mort elle-même, mais je peux dire que mon Humanité
n’était consciente que d’une infime partie de tout le bien que je faisais ; les sacrements eux-mêmes ne trouvèrent vie qu’après ma mort. Dès que je mourus, ma mort mit un sceau sur la totalité de mes actes, de mes paroles, de mes souffrances ainsi que des sacrements que j’avais institués. Ma mort confirma tout ce que j’avais fait et donna vie à mes œuvres, mes souffrances, mes paroles, ainsi qu’aux sacrements que j’avais institués, en assurant
leur pérennité jusqu’à la consommation des siècles. Ainsi, ma mort mit en action tout ce que j’avais fait et leur donna une vie perpétuelle.
« Puisque mon Humanité était habitée par le Verbe éternel et par une Volonté qui n’a eu aucun commencement, qui n’aura aucune fin et qui est non sujette à la mort, rien de ce que j’ai fait ne devait se perdre, pas la moindre parole. Tout devait avoir sa continuation jusqu’à la fin des siècles pour parvenir au Ciel et rendre
éternellement heureux tous les élus. Il en ira de même pour toi : ma Volonté qui vit en toi, qui te parle, qui te fait agir et souffrir, ne laissera rien disparaître, pas un seul mot des nombreuses vérités que je t’ai enseignées concernant ma Volonté ; elle mettra tout en mouvement, redonnera vie à tout. Ta mort sera la confirmation de
tout ce que je t’ai dit. Puisque, dans la vie dans ma Volonté, tout ce que l’âme fait, souffre, prie et dit contient un acte de Divine Volonté, tout cela n’est pas sujet à mourir, mais demeurera dans l’acte de donner vie aux créatures.
Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :
Restez dans le Seigneur et dans sa vérité. Je suis la Vérité et j’enseigne la vérité. Aussi, je vous le répète : quoi que l’on vous raconte sur moi, ne le croyez pas. Moi seul ai dit la vérité. Moi seul, je vous affirme que le Christ viendra, mais quand ce sera la fin. Donc si l’on vous annonce : “ Il est dans le désert ”, n’y allez pas. Si l’on vous donne comme information : “ Il est dans cette maison ”, n’y croyez pas. Car la seconde venue du Fils de l’Homme sera semblable à l’éclair qui sort du levant et glisse jusqu’au couchant en moins de temps qu’il n’en faut pour le battement d’une paupière. Et il glissera sur le grand Corps, soudainement devenu cadavre, suivi de ses anges resplendissants. Alors, il jugera. Partout où sera le corps, se réuniront les aigles.
Aussitôt après la tribulation de ces derniers jours — je parle maintenant de la fin du temps et du monde, et de la résurrection des ossements qu’ont annoncées les prophètes —, le soleil s’obscurcira, la lune ne donnera plus de lumière, les étoiles du ciel tomberont comme les grains d’une grappe trop mûre secouée par un vent de tempête, et les puissances des Cieux seront ébranlées.
Alors, dans le firmament obscurci, apparaîtra de manière fulgurante le signe du Fils de l’homme ; toutes les nations de la terre pleureront, et les hommes verront le Fils de l’homme venir sur les nuées avec grande puissance et grande gloire.
Il ordonnera à ses anges de moissonner et de vendanger, de séparer l’ivraie du bon grain et de jeter le raisin dans la cuve : car le temps de la grande récolte des descendants d’Adam sera venu. Il ne sera plus nécessaire de garder des grappillons ou de la semence, car l’espèce humaine ne se perpétuera plus jamais sur la terre morte. Et il commandera à ses anges de rassembler au son des trompettes les élus des quatre vents, d’une extrémité à l’autre du ciel pour qu’ils prennent place à côté du divin Juge pour juger avec lui les derniers vivants et ceux qui seront ressuscités.
Regardez le figuier : quand vous voyez ses branches s’attendrir et des feuilles pousser, vous savez que l’été est proche. De même, quand vous verrez tous ces signes, sachez que le Christ va venir. En vérité, je vous le dis : cette génération qui n’a pas voulu de moi ne passera pas avant que tout cela n’arrive.
Ma parole ne sera pas prise en défaut. Ce que je dis sera. Le cœur et la pensée des hommes peuvent changer, mais ma parole est immuable. Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront pas. Quant au jour et à l’heure précise, personne ne les connaît, pas même les anges du Seigneur, mais le Père seul.