Vendredi 12 novembre 2021 - Missionnaires de la Divine Volonté
De l’évangile de Luc 17, 26-37
Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même aux jours du Fils de l’homme. Lc 17,26
Par ses actes, (Noé) il a mérité la continuation de la nouvelle génération dans laquelle le Messie promis devait venir.

 

Le livre du Ciel Tome 28, 12 mars 1930
Ma fille, lorsque notre infinie sagesse doit donner un bien aux créatures, elle ne calcule pas le temps, mais les actes des créatures, car les jours et les années n’existent pas devant la Divinité : uniquement un jour unique et éternel. Par conséquent, nous ne mesurons pas le temps, mais nous comptons les actes accomplis par les créatures. Ainsi, dans le temps qui te semble si long, les actes que nous voulions pour venir racheter l’homme n’avaient pas été accomplis. Seuls les actes déterminent ce qui fait venir le bien, et non le temps. Plus encore, les actes contraignent notre Justice à éliminer les créatures de la surface de la terre comme cela s’est passé dans le déluge dont seul Noé a mérité d’être sauvé avec sa famille en obéissant à notre Volonté et par son sacrifice à long terme dans la construction de l’arche. Par ses actes, il a mérité la continuation de la nouvelle génération dans laquelle le Messie promis devait venir. Un sacrifice à long terme et continuel possède un tel pouvoir d’attraction et de ravissement sur l’Être suprême qu’il le détermine à donner de grands biens et une continuation de la vie à l’humanité. Si Noé ne nous avait pas obéi et ne s’était pas sacrifié pour accomplir un long travail, il aurait été renversé par la tempête du déluge. Et ne s’étant pas sauvé lui-même, le monde et la nouvelle génération auraient pris fin. Vois-tu ce que signifie un long et continuel sacrifice ? Il est si grand qu’il met en sûreté et fait se lever une vie nouvelle chez les autres, ainsi que le bien que nous avons établi de donner. C’est pourquoi, pour le Royaume de ma Divine Volonté, je voulais ton long et continuel sacrifice de tant d’années au lit. Ton long sacrifice te met en sûreté, mieux que dans
l’arche, dans le Royaume de ma Divine Volonté et incline ma bonté à donner un si grand bien pour la faire régner parmi les créatures.

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :

Lorsque vous verrez l’Abomination de la désolation, installée dans le Lieu saint comme l’a dit le prophète Daniel – que le lecteur comprenne ! – alors, ceux qui seront en Judée, qu’ils s’enfuient dans les montagnes ; celui qui sera sur sa terrasse, qu’il ne descende pas pour emporter ce qu’il y a dans sa maison ; celui qui sera dans son champ, qu’il ne retourne pas en arrière pour emporter son manteau. Malheureuses les femmes qui seront enceintes et celles qui allaiteront en ces jours-là ! Priez pour que votre fuite n’arrive pas en hiver ni un jour de sabbat. Alors, en effet, il y aura une grande détresse, telle qu’il n’y en a jamais eu depuis le commencement du monde jusqu’à maintenant, et telle qu’il n’y en aura jamais plus. Et si le nombre de ces jours-là n’était pas abrégé, personne n’aurait la vie sauve ; mais à cause des élus, ces jours-là seront abrégés. (…)

Quant à ce jour et à cette heure-là, nul ne les connaît, pas même les anges des cieux, pas même le Fils, mais seulement le Père, et lui seul. Comme il en fut aux jours de Noé, ainsi en sera-t-il lors de la venue du Fils de l’homme. En ces jours-là, avant le déluge, on mangeait et on buvait, on prenait femme et on prenait mari, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche ; les gens ne se sont doutés de rien, jusqu’à ce que survienne le déluge qui les a tous engloutis : telle sera aussi la venue du Fils de l’homme. Alors deux hommes seront aux champs : l’un sera pris, l’autre laissé. Deux femmes seront au moulin en train de moudre : l’une sera prise, l’autre laissée. Veillez donc, car vous ne savez pas quel jour votre Seigneur vient.