De l’évangile de Luc 10, 1-9
” La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson.”
Et c’est aux prêtres, tels de nouveaux prophètes, que revient la tâche, par la parole, les écrits et les œuvres, de servir de hérauts pour faire connaître ce qui concerne mon divin Fiat ;
Le livre du Ciel Tome 25, 13 janvier 1929
[…] Or, ma fille, le Royaume de la Rédemption et le Royaume de mon divin Fiat se tiennent la main, et comme ce dernier est également un bien universel et que, s’ils le veulent, tous peuvent y entrer, il est nécessaire que beaucoup
connaissent la nouvelle et que ce Royaume soit conçu dans l’esprit, les paroles, les œuvres et les cœurs d’un grand nombre afin que, par des prières, des désirs et une sainte vie, ils puissent se disposer à recevoir le Royaume de
ma Divine Volonté parmi eux. Si la nouvelle n’est pas divulguée, mes manifestations n’agiront pas comme des hérauts, et les connaissances sur mon divin Fiat ne pourront pas courir de bouche en bouche, formant sa
conception dans l’esprit, les prières, les soupirs et les désirs des créatures. Ma Divine Volonté ne fera pas son entrée triomphante en venant régner sur la terre. Combien il est nécessaire que les connaissances sur mon Fiat soient connues ; non seulement cela, mais que l’on fasse connaître que ma Divine Volonté veut déjà venir parmi les créatures pour régner sur terre comme elle règne au Ciel. Et c’est aux prêtres, tels de nouveaux prophètes, que revient la tâche, par la parole, les écrits et les œuvres, de servir de hérauts pour faire connaître ce qui concerne mon divin Fiat ; et leur crime ne serait pas moindre que celui des prophètes qui auraient caché ma Rédemption, si ces prêtres ne s’employaient pas autant qu’ils le peuvent à ce qui concerne ma Divine Volonté. Ils seraient cause de ce qu’un bien si grand ne soit ni connu ni reçu par les créatures ; et étouffer le Royaume de ma Divine Volonté,
laisser en suspens un bien si grand qu’il n’en existe pas de pareil – n’est-ce peut-être pas un crime ? Par conséquent, je te recommande : pour ta part, n’omets rien, et prie pour ceux qui doivent s’employer à faire connaître un bien si grand.
Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :
Notre séjour est terminé. Le temps de la fête des Tentes approche. Ceux auxquels j’ai parlé en particulier ce matin, partiront dès demain pour me précéder et m’annoncer aux populations. Que ceux qui restent ne se découragent pas. J’ai gardé certains d’entre eux pour une raison de prudence, non par mépris à leur égard. Ils vont rester avec moi, et bientôt je les enverrai comme j’envoie les soixante-douze premiers. La moisson est abondante, et les ouvriers sont toujours peu nombreux pour le travail à faire. Il y aura donc du travail pour tous. Et ils n’y suffiront pas encore. Donc, sans jalousie, priez le Maître de la moisson d’envoyer toujours de nouveaux ouvriers pour sa moisson.
Pour le moment, allez. Les apôtres et moi, en ces jours de repos, nous avons complété votre instruction sur le travail que vous avez à faire, en répétant ce que j’ai dit avant d’envoyer les douze.
L’un de vous m’a demandé : “ Mais comment vais-je guérir en ton Nom ? ” Guérissez d’abord l’âme. Promettez aux malades le Royaume de Dieu s’ils savent croire en moi et, après avoir vu en eux la foi, ordonnez à la maladie de s’en aller, et elle s’en ira. Et agissez ainsi pour ceux qui sont malades spirituellement. Allumez tout d’abord la foi. Par une parole assurée, communiquez l’espérance. Je viendrai à mon tour mettre en eux la divine charité, comme je l’ai mise dans votre cœur après que vous avez cru en moi et espéré en ma miséricorde. Et n’ayez peur ni des hommes ni du démon. Ils ne vous feront aucun mal. Les seules choses que vous devez craindre, ce sont la sensualité, l’orgueil, la cupidité. Par elles, vous pourriez vous livrer à Satan et aux hommes-satans, qui existent aussi.
Partez donc et précédez-moi sur les routes du Jourdain. Arrivés à Jérusalem, allez rejoindre les bergers dans la vallée de Bethléem, et venez me trouver avec eux à l’endroit que vous savez. Ensemble, nous célébrerons la fête sainte et reviendrons ensuite plus affermis que jamais à notre ministère.
Allez en paix. Je vous bénis au saint Nom du Seigneur. »