NE PERDONS PLUS NOTRE TEMPS DANS LA MAISON DE DIEU ! - Missionnaires de la Divine Volonté

Homélie de dimanche 7 Mars: Jn 2, 13-25

Ma fille, vois comment tous les actes que j’ai faits en sauvant l’homme, et même les Miracles que j’ai accomplis durant ma Vie publique, n’avaient d’autre but que de ramener le Royaume du Fiat Suprême parmi les créatures ; et ce faisant, Je demandais au Père Céleste de le faire connaître et de le restaurer dans les générations humaines. Si Je rendais la vue aux aveugles, Mon acte premier était de chasser l’obscurité de la volonté humaine, cause première de la cécité de l’âme et du corps, afin que la Lumière de ma Volonté puisse illuminer les âmes de tous les aveugles pour qu’ils puissent voir ma Volonté et l’aimer, et que leur corps puisse également ne pas perdre la vue. Si je rendais l’ouïe aux sourds, Je demandais premièrement au Père qu’ils puissent acquérir l’ouïe pour entendre les Voix, les Connaissances, les Prodiges de ma Divine Volonté et qu’Elle puisse entrer dans leur cœur pour les dominer, et qu’il n’y ait plus de sourds dans le monde – dans l’âme ou dans le corps. Dans les morts que j’ai ressuscités, Je demandais que l’âme puisse renaître dans ma Volonté Éternelle – même ceux qui étaient putréfiés et rendus comme des cadavres par la Volonté humaine. Et quand j’ai pris des cordes pour chasser les profanateurs du temple, c’est la volonté humaine que Je chassais pour que ma Volonté puisse entrer, régner et dominer, et qu’ils puissent être véritablement riches dans leur âme et plus jamais sujets à la pauvreté naturelle. Et même lorsque, triomphant, j’entrais à Jérusalem parmi le triomphe des foules, entouré d’honneur et de gloire, c’était le triomphe de ma Volonté que j’établissais dans le peuple.
« S’ils jetaient seulement un regard sur ma vie, ils verraient que je n’ai exercé qu’un seul acte de justice : pour défendre la maison de mon Père, j’ai pris des cordes et j’ai expulsé ceux qui violaient le Temple. Tout le reste dans ma vie n’a été que miséricorde. Ma Conception a été miséricorde, ma Naissance a été miséricorde, mes Paroles ont été miséricorde, mes actes ont été miséricorde, mes Pas ont été miséricorde, le Sang que j’ai versé fut miséricorde, mes souffrances furent miséricorde. J’ai tout accompli dans la miséricorde de mon amour. Pourtant, beaucoup me craignent, alors qu’ils devraient se craindre eux-mêmes beaucoup plus que moi. »
Vol 14, 9 juin 1922