Mercredi 13 Janvier 2021 - Missionnaires de la Divine Volonté
« Jésus s’approcha, la saisit par la main et la fit lever. La fièvre la quitta, et elle les servait. » Saint Marc (1,29-39)
« Jésus s’approcha, la saisit par la main et la fit lever. La fièvre la quitta, et elle les servait. […] les passions les mettent continuellement en danger et leur communiquent une fièvre intermittente… »
Le Livre du Ciel Tome 27, 10 janvier 1930
« Ma fille, celle qui dans mon divin Fiat vit en Dieu, par conséquent elle possède et peut donner les biens qu’elle possède. L’Être divin l’entoure de partout de telle sorte qu’elle ne voit, ne sent et ne touche rien d’autre que Dieu. Elle trouve en lui ses délices, ne comprend et ne connaît que lui seul ; tout disparaît pour elle et si elle est en son Dieu, il ne lui reste que le souvenir d’être encore en pèlerinage, et qu’un pèlerin doit prier pour ses frères, car étant en mesure de donner les biens qu’elle possède, elle doit les leur accorder selon leurs dispositions. Rappelle-toi, il y a des années, je voulais te placer dans mon Cœur et tout disparaissait pour toi, et tu ne voulais plus en sortir ; et moi, pour te rappeler que tu étais en pèlerinage, je te plaçais à l’extérieur à la porte de mon Cœur ou dans mes bras pour te faire voir les maux de l’espèce humaine afin de prier pour eux ; et tu n’étais pas contente, car tu ne voulais pas sortir de mon Cœur. C’était le commencement de la vie dans ma Divine Volonté que tu ressentais dans mon Cœur – à l’abri des dangers et de tous les maux parce que Dieu lui-même se tient autour de l’heureuse créature pour la défendre contre tout et contre tous. Par contre, les créatures qui ne sont pas dans ma Divine Volonté et ne vivent pas en elle, se trouvent dans la condition de pouvoir recevoir, mais non de donner ; et comme elles vivent en dehors de Dieu et non en Lui, elles voient la terre, ressentent les passions qui les mettent continuellement en danger et leur communiquent une fièvre intermittente, de sorte qu’elles sont tantôt en santé, tantôt malades. Elles veulent faire le bien, et puis elles se fatiguent, s’ennuient, s’irritent et abandonnent. Elles ressemblent à des créatures qui n’ont pas de maison où être en sécurité, et qui vivent en pleine rue, exposées au froid, à la pluie, au soleil brûlant, aux dangers, et qui vivent d’aumônes. Juste châtiment pour celles qui pourraient vivre en Dieu, mais qui se contentent de vivre en dehors de lui. »