Jeudi 17 Décembre - Missionnaires de la Divine Volonté
« Généalogie de Jésus Christ, fils de David, fils d’Abraham… » Saint Matthieu (1,1-17)
« Le nombre total des générations est donc : depuis Abraham jusqu’à David, quatorze générations ; depuis David jusqu’à l’exil à Babylone, quatorze générations ; depuis l’exil à Babylone jusqu’au Christ, quatorze générations. […] En fait, c’était seulement dans la Divine Volonté que Je pouvais rejoindre toutes les générations passées, présentes et futures… »
Le Livre du Ciel Tome 11, 3 mai 1916
« Ma fille, prie, mais prie comme Moi. C’est-à-dire, immerge-toi tout entière dans ma Volonté: en elle, tu trouveras Dieu et toutes les créatures. T’appropriant toutes les choses des créatures, tu les présentes à Dieu, puisque tout lui appartient. Ensuite, tu déposes à ses pieds toutes leurs bonnes actions pour rendre gloire à Dieu, et leurs mauvaises actions en réparant pour elles par la Sainteté, la puissance et l’Immensité de la Divine Volonté à qui rien n’échappe. C’est ainsi que faisait mon Humanité sur la terre. Aussi sainte qu’elle était, elle avait besoin de la Divine Volonté pour donner complète satisfaction au Père pour le rachat des générations humaines. En fait, c’était seulement dans la Divine Volonté que Je pouvais rejoindre toutes les générations passées, présentes et futures, ainsi que tous leurs actes, leurs pensées, leurs paroles, etc. Ne laissant rien m’échapper, Je prenais toutes les pensées des créatures dans mon esprit, Je me présentais devant la Majesté suprême et Je réparais pour toutes. Dans mes regards Je prenais les regards de toutes les créatures, dans ma voix leurs paroles, dans mes mouvements leurs mouvements, dans mes mains leurs travaux, dans mon Cœur leurs affections et leurs désirs, dans mes pieds leurs pas, Je les faisais miens. Et, par la Divine Volonté, mon Humanité satisfaisait au Père et sauvait les pauvres créatures. Le divin Père était satisfait. En fait, il ne pouvait me rejeter puisqu’Il était lui-même la Divine Volonté. Aurait-Il pu se rejeter lui-même? Certainement pas. D’autant plus que, dans ces actes, Il trouvait -une sainteté parfaite, une beauté inaccessible et ravissante, l’amour le plus haut, des actes immenses et éternels, et la puissance absolue. Ce fut là toute la Vie de mon Humanité sur la terre, du premier instant de ma conception à mon dernier soupir. Et cela s’est continué dans le Ciel et dans le très saint Sacrement. Cela dit, pourquoi ne pourrais-tu pas en faire autant? Pour celui qui m’aime, tout est possible. »