« Il n’est pas le Dieu des morts, mais des vivants. » Saint Luc (20, 27-40)
« Il n’est pas le Dieu des morts, mais des vivants. […] je ne m’occupe pas des cadavres, mais des vivants. »
Le Livre du Ciel Tome 32, 14 mai 1933.
« Ma petite fille de mon Vouloir, tu dois savoir que lorsque je manifeste un bien, une vérité, c’est un signe certain que je veux donner ce bien ou faire le don d’une vérité afin qu’ils deviennent la propriété de la créature. Sinon, je la tromperais, je la séduirais et lui ferais perdre son temps avec des milliers de désirs inutiles sans lui donner la possession d’un bien que je lui aurais fait connaître. Je suis incapable de tromper et ne fais pas de choses inutiles. Je décide d’abord de donner un bien, puis je manifeste la nature de ce bien et place déjà en même temps sa semence dans la profondeur de l’âme afin qu’elle commence à sentir le commencement de la vie nouvelle du bien que je lui ai fait connaître, et la succession de mes manifestations sert à faire germer la semence, à l’arroser pour former la vie entière du don que je veux lui faire ; et le signe que l’âme a accepté et apprécié la vie nouvelle du don que je veux lui faire, c’est que je continue à manifester les différentes qualités, les belles prérogatives, la valeur immense que possède mon don. Et lorsqu’il est certain que l’âme possède la vie entière du don que je veux lui faire, je lui fais connaître mes desseins, l’œuvre que j’ai accomplie en elle, et le don qu’elle a déjà en sa possession. Ma Sagesse est infinie, mes industries d’amour innombrables. En premier j’accomplis des faits, puis viennent les paroles pour apprendre à la créature comment recevoir, conserver et utiliser le bien qui lui a été donné et révélé. Donner un bien sans le faire connaître serait comme donner de la nourriture à un cadavre et je ne m’occupe pas des cadavres, mais des vivants. Faire connaître un bien à l’âme sans le lui accorder serait une plaisanterie et ne serait pas selon notre divine nature. Par conséquent, si je t’ai manifesté tant de vérités sur ma Divine Volonté, c’est parce que je veux te faire le don de sa vie opérante en toi, et s’il n’en était pas ainsi, je ne t’aurais pas dit tant de choses. Mon discours lui-même est messager, porteur et dépositaire du grand don de ma Divine Volonté, non seulement à toi, mais au monde entier. Par conséquent, sois attentive à ce que ma semence soit reçue en toi pour se changer même en nature, et tu sentiras alors par des faits le bien de ma Volonté régnant dans ton âme. »