La croix provenant de la Divine Volonté fut pour Jésus la plus longue et la plus large - Missionnaires de la Divine Volonté

RÉVÉLATION DE LA PASSION À LUISA PICCARRETA

La croix provenant de la Divine Volonté fut pour Jésus la plus longue et la plus large. Chaque acte de la volonté humaine opposée à la Divine Volonté était une croix particulière pour Jésus.

 

Ma fille, la croix la plus longue et la plus large pour mon Humanité,
une croix qui ne m’a jamais quittée était celle provenant de la Divine Volonté
.

Plus encore, chaque acte de la volonté humaine opposé à la Divine Volonté
était une croix particulière
que la Volonté Suprême imprimait profondément dans mon Humanité.

«En fait,
quand la volonté humaine quitte la terre dans le but d’agir dans la Divine Volonté,
celle-ci quitte le Ciel pour la rencontrer et pour ne faire qu’un avec elle,
afin de faire couler des torrents de grâces, de lumière et de sainteté dans cet acte.
Mais, en refusant de rencontrer la Divine Volonté, la volonté humaine
se met comme en guerre contre son Créateur et
repousse vers les régions célestes
le bien, la lumière et la sainteté qu’il voulait répandre sur elle.

«Ainsi offensée, la Volonté Suprême voulut recevoir réparation par moi
Pour chaque acte de la volonté humaine, elle m’infligea une croix.

Avec ces croix, je reçus tous les biens rejetés par les humains,  dans le but de les garder en dépôt
pour le temps où la créature sera disposée à rencontrer la Divine Volonté dans ses actes.
En dépit de cela,
je ne pouvais pas m’empêcher de ressentir la peine intense causée par tant de croix.

Regarde en moi combien de millions de croix contient mon Humanité.
Ainsi, les croix reçues de ma Volonté furent incalculables.
Ma souffrance était infinie.
Je gémissais sous le poids d’une souffrance infinie.
Cette souffrance infinie avait un tel pouvoir qu’elle me donnait la mort à tous les instants,
en me donnant une croix pour chaque acte de la volonté humaine opposée à la Volonté Divine.

La croix provenant par ma Volonté
n’est pas faite de bois,
laquelle ne nous fait ressentir que son poids et sa souffrance.
Elle est plutôt une croix de lumière et de feu, qui brûle, consume et s’implante
de telle manière à ne former qu’un avec celui qui la reçoit.

Ce fut une volonté humaine qui offensa la Divine Volonté et rompit avec elle, n’est-ce pas? Aussi, ce fut la Divine Volonté qui crucifia et fit souffrir ma nature et ma volonté humaine.
Chez l’homme, la source, la racine, la substance du mal ou du bien est au tréfonds de sa volonté, tout le reste pouvant être considéré comme superficiel. «Seule la Divine Volonté pouvait me faire expier le mal de tant de volontés humaines.        LDC-16- 28 novembre 1923