De l’Évangile de Marc 9, 41-50
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Celui qui vous donnera un verre d’eau au nom de votre appartenance au Christ, amen, je vous le dis, il ne restera pas sans récompense. Celui qui est un scandale, une occasion de chute, pour un seul de ces petits qui croient en moi, mieux vaudrait pour lui qu’on lui attache au cou une de ces meules que tournent les ânes, et qu’on le jette à la mer. Et si ta main est pour toi une occasion de chute, coupe-la. Mieux vaut pour toi entrer manchot dans la vie éternelle que de t’en aller dans la géhenne avec tes deux mains, là où le feu ne s’éteint pas. Si ton pied est pour toi une occasion de chute, coupe-le. Mieux vaut pour toi entrer estropié dans la vie éternelle que de t’en aller dans la géhenne avec tes deux pieds. Si ton œil est pour toi une occasion de chute, arrache-le. Mieux vaut pour toi entrer borgne dans le royaume de Dieu que de t’en aller dans la géhenne avec tes deux yeux, là où le ver ne meurt pas et où le feu ne s’éteint pas. Chacun sera salé au feu. C’est une bonne chose que le sel ; mais s’il cesse d’être du sel, avec quoi allez-vous lui rendre de la saveur ? Ayez du sel en vous-mêmes, et vivez en paix entre vous. »
Celui qui est un scandale, une occasion de chute, pour un seul de ces petits qui croient en moi, mieux vaudrait pour lui qu’on lui attache au cou une de ces meules que tournent les ânes, et qu’on le jette à la mer. Mc 9, 42
Ah ! Ma fille, qu’adviendra-t-il de tous ces êtres infectés par le mauvais exemple de ceux-là mêmes qui sont appelés à être leurs chefs.
Le livre du Ciel Tome 2, 20 mars 1899
« La raison pour laquelle le monde est dans un état si lamentable, c’est qu’il a perdu tout esprit de soumission à ses chefs. Et comme Dieu est le premier chef contre lequel il se rebelle, il a perdu toute soumission à l’Église, à ses lois et à toute autorité légitime. Ah ! Ma fille,
qu’adviendra-t-il de tous ces êtres infectés par le mauvais exemple de ceux-là mêmes qui sont appelés à être leurs chefs, leurs supérieurs, leurs parents, etc. ? Ah ! Nous arrivons au point où ni les parents, ni les rois, ni les princes ne seront respectés. Ils seront comme des vipères
s’empoisonnant mutuellement. Tu peux ainsi voir à quel point les châtiments sont nécessaires et pourquoi la mort doit en venir à détruire presque entièrement mes créatures. Le petit nombre des survivants apprendra, aux dépens des autres, à devenir humble et obéissant. Par
conséquent, laisse-Moi faire. N’essaie pas de m’empêcher de châtier mon peuple. »

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :