Mercredi 10 avril 2024 - Missionnaires de la Divine Volonté
De l’Evangile de Jean 3, 16-21
En ce temps-là, Jésus disait à Nicodème : « Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais obtienne la vie éternelle. Car Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que, par lui, le monde soit sauvé. Celui qui croit en lui échappe au Jugement ; celui qui ne croit pas est déjà jugé, du fait qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. Et le Jugement, le voici : la lumière est venue dans le monde, et les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises. Celui qui fait le mal déteste la lumière : il ne vient pas à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient dénoncées ; mais celui qui fait la vérité vient à la lumière, pour qu’il soit manifeste que ses œuvres ont été accomplies en union avec Dieu. » 
“Mais celui qui fait la vérité vient à la lumière, pour qu’il soit manifeste que ses œuvres ont été accomplies en union avec Dieu.” Jn, 21n 3
Seule ma Volonté élève l’âme à la ressemblance de son Créateur ; ses œuvres accomplies dans ma Volonté la placent dans l’ordre des œuvres divines.
Le livre du Ciel Tome 24, 20 juin 1928
Ma fille, ce qui est accompli dans ma Divine Volonté renferme une valeur inestimable. C’est comme si l’âme tenait en main les deux plateaux d’une balance et qu’elle plaçait dans chaque plateau un objet de même poids et de valeur égale. Ces objets ont le même poids, la même valeur, et le prix qu’elle peut en tirer est le même. On place maintenant dans un des plateaux Dieu et sa Volonté ; dans l’autre, l’âme avec ses actes accomplis dans la Volonté de
Dieu. Les deux plateaux restent parfaitement en équilibre et au même niveau parce que, comme la Volonté de Dieu et celle de l’âme sont une, quoi qu’elle fasse, que ce soit en Dieu ou dans la créature, la valeur est la même. Seule ma Volonté élève l’âme à la ressemblance de son Créateur ; ses œuvres accomplies dans ma Volonté la placent dans l’ordre des
œuvres divines.

 

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta


Dans le monde, j’ai trouvé tous les péchés, toutes les hérésies, toutes les idolâtries. Mais l’hirondelle qui vole rapidement au-dessus de la poussière peut-elle souiller son plumage ? Non. Elle n’apporte sur les tristes chemins de la terre qu’une virgule d’azur, une odeur de ciel. Elle lance un appel pour secouer les hommes, pour élever leur regard au-dessus de la boue et leur faire suivre son vol qui revient vers le ciel. Il en est ainsi de moi. Je viens pour vous emmener avec moi. Venez !… Celui qui croit au Fils unique n’est pas 
jugé. Il est déjà sauvé, car ce Fils parle au Père et dit : “Celui-ci m’aime.” Mais celui qui ne croit pas, il est inutile qu’il fasse des œuvres saintes. Il est déjà jugé car il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.
 – Quel est mon nom, Nicodème ?
– Jésus.
– Non. Sauveur. Je suis le Salut. Celui qui ne me croit pas, refuse son salut, il est déjà jugé par la justice éternelle. Et voici ce jugement : “La
lumière t’avait été envoyée, à toi et au monde, pour être pour vous le salut, mais toi et les autres hommes avez préféré les ténèbres à la lumière, parce que vous préfériez les œuvres mauvaises auxquelles vous étiez habitués, aux bonnes œuvres auxquelles il fallait s’attacher pour devenir saint.”
Vous avez haï la lumière parce que les malfaiteurs aiment les ténèbres pour commettre leurs crimes, et vous avez fui la lumière pour qu’elle ne vous révèle pas vos plaies cachées. Ce n’est pas spécialement à toi que je m’adresse, Nicodème. Mais c’est la vérité. Et la punition sera en proportion de la condamnation, pour l’individu et pour la collectivité.
274> Quant à ceux qui m’aiment et mettent en pratique les vérités que j’enseigne, en naissant donc une seconde fois par une naissance plus réelle, je dis que, loin de craindre la lumière, ils s’en approchent, car cette lumière augmente celle par laquelle ils ont été primitivement éclairés. C’est une gloire réciproque qui réjouit Dieu en ses fils et eux à leur tour en leur Père.
Tome 2, chapitre 116.