SAINT JUAN DIEGO CUAUHTLATOATZIN – CANONISÉ PAR JEAN-PAUL II – C’EST EN 1531 QUE LA VIERGE LUI APPARUT – NOTRE DAME DE GUADALUPE EST LE SANCTUAIRE MARIALE LE PLUS VISITÉ AU MONDE.
De l’Évangile de Matthieu 9, 35-10, 1.5a.6-8
En ce temps-là, Jésus parcourait toutes les villes et tous les villages, enseignant dans leurs synagogues, proclamant l’Évangile du Royaume et guérissant toute maladie et toute infirmité. Voyant les foules, Jésus fut saisi de compassion envers elles parce qu’elles étaient désemparées et abattues comme des brebis sans berger. Il dit alors à ses disciples : « La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson. » Alors Jésus appela ses douze disciples et leur donna le pouvoir d’expulser les esprits impurs et de guérir toute maladie et toute infirmité. Ces douze, Jésus les envoya en mission avec les instructions suivantes : « Allez vers les brebis perdues de la maison d’Israël. Sur votre route, proclamez que le royaume des Cieux est tout proche. Guérissez les malades, ressuscitez les morts, purifiez les lépreux, expulsez les démons. Vous avez reçu gratuitement : donnez gratuitement. »
Jésus les envoya en mission. Mt 10, 7
Tu dois savoir que, quand une personne est chargée d’une mission, plus elle possède de biens rattachés à cette mission, plus elle peut en communiquer aux autres.
Le livre du Ciel Tome 18, 12 novembre 1925
« Ma fille, tu dois savoir que, quand une personne est chargée d’une mission, plus elle possède de biens rattachés à cette mission, plus elle peut en communiquer aux autres. Ces biens communiqués deviendront comme une semence pour les personnes qui auront la
chance de les recevoir, lesquelles seront propriétaires de la récolte qui s’ensuivra. C’est ce qui est arrivé à Adam qui, en tant que premier homme, fut à la tête de toutes les générations. À ce titre, il devait posséder toutes les semences nécessaires au développement de la vie
humaine. On peut dire que tout provient de lui. Il possédait toutes les sciences. Les choses que ses descendants allaient réussir à connaître après beaucoup d’efforts, il les connaissait toutes d’une manière infuse : il avait la science de toutes les plantes, de toutes les herbes avec leurs vertus particulières, la science de toutes les espèces d’animaux et de la manière de les mettre à profit, la science des arts de la musique, du chant, de l’écriture et de la médecine bref, la science de tout. Si les générations ont maîtrisé certaines sciences particulières, Adam les maîtrisait toutes. Vois donc à quel point une personne qui est à la tête d’une mission, doit maîtriser tout ce qu’elle aura à communiquer aux autres. Et c’est ton cas, ma fille. Puisque je t’ai placée à la tête d’une mission spéciale, qui est plus que celle d’Adam, il ne s’agit pas ici d’une science humaine, mais de la science des sciences, celle de ma Volonté, une science toute céleste. Je veux que tu possèdes toutes les semences que comporte ma Volonté. Plus tu agiras en ma Volonté, plus tu acquerras de connaissances sur elle, plus tu ajouteras des rayons à son soleil. Ainsi, dans une grande Lumière, ma Volonté se diffusera pour le bien des générations afin que les âmes connaissent avec plus de clarté les biens qu’elle contient et les grands avantages qu’elles auront à vivre en elle
Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :
Notre séjour est terminé. Le temps de la fête des Tentes approche. Ceux auxquels j’ai parlé en particulier ce matin, partiront dès demain pour me précéder et m’annoncer aux populations. Que ceux qui restent ne se découragent pas. J’ai gardé certains d’entre eux pour une raison de prudence, non par mépris à leur égard. Ils vont rester avec moi, et bientôt je les enverrai comme j’envoie les soixante-douze premiers. La moisson est abondante, et les ouvriers sont toujours peu nombreux pour le travail à faire. Il y aura donc du travail pour tous. Et ils n’y suffiront pas encore. Donc, sans jalousie, priez le Maître de la moisson d’envoyer toujours de nouveaux ouvriers pour sa moisson.
Pour le moment, allez. Les apôtres et moi, en ces jours de repos, nous avons complété votre instruction sur le travail que vous avez à faire, en répétant ce que j’ai dit avant d’envoyer les douze.
L’un de vous m’a demandé : “ Mais comment vais-je guérir en ton Nom ? ” Guérissez d’abord l’âme. Promettez aux malades le Royaume de Dieu s’ils savent croire en moi et, après avoir vu en eux la foi, ordonnez à la maladie de s’en aller, et elle s’en ira. Et agissez ainsi pour ceux qui sont malades spirituellement. Allumez tout d’abord la foi. Par une parole assurée, communiquez l’espérance. Je viendrai à mon tour mettre en eux la divine charité, comme je l’ai mise dans votre cœur après que vous avez cru en moi et espéré en ma miséricorde. Et n’ayez peur ni des hommes ni du démon. Ils ne vous feront aucun mal. Les seules choses que vous devez craindre, ce sont la sensualité, l’orgueil, la cupidité. Par elles, vous pourriez vous livrer à Satan et aux hommes-satans, qui existent aussi.
Partez donc et précédez-moi sur les routes du Jourdain. Arrivés à Jérusalem, allez rejoindre les bergers dans la vallée de Bethléem, et venez me trouver avec eux à l’endroit que vous savez. Ensemble, nous célébrerons la fête sainte et reviendrons ensuite plus affermis que jamais à notre ministère.
Allez en paix. Je vous bénis au saint Nom du Seigneur. » Tome 4 – ch 278.6