Mardi 26 juillet 2022 - Missionnaires de la Divine Volonté
De l’évangile de Matthieu 13,36-43
Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père. Mt 13,43
Mes larmes sont remplies de vie et toujours dans l’acte de couler (…) sur les justes et les bonnes âmes pour les embellir et conquérir leur cœur, pour m’aimer.
Le livre du Ciel Tome 35, 18 décembre 1937
Ne sois pas surprise. Même ma vie ici-bas ne fit rien d’autre que libérer la vie hors de moi-même, au point que mes pas sont encore sur la terre à la recherche des créatures –ils n’arrêtent jamais. Tous les siècles auront la vie de mes
pas. Ma bouche est encore en train de parler parce que chacune de mes paroles contenait une vie qui parle toujours. Seuls ceux qui ne veulent pas écouter ne peuvent entendre ma voix. Mes larmes sont remplies de vie et toujours dans l’acte de couler sur le pécheur pour le toucher, l’amener au repentir et le convertir, ainsi que sur les justes et les bonnes âmes pour les embellir et conquérir leur cœur pour m’aimer. Chaque souffrance –chaque goutte de mon sang est une vie distincte qui contient –et forme une force pour les souffrances de toutes les créatures, et un bain pour tous leurs péchés. Ce sont les prodiges de ma Volonté. Lorsqu’elle règne avec sa vertu créatrice sur chaque acte – même le plus insignifiant, ma Volonté crée la vie pour nous faire aimer. Tu dois être convaincue qu’avec un si grand amour, il n’est pas possible que nous ne soyons pas aimés. Par conséquent, notre Volonté qui pense à tout et sait faire toute chose crée de nombreuses vies à partir des actes de la créature qui vit en elle. Elle compense pour notre amour et rend moins vive notre impatience d’amour et notre éternel délire d’amour.
Par conséquent, vis toujours dans notre Volonté.

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :
« Venez autour de moi et écoutez. Je vous explique le sens complet de cette parabole, qui a encore deux aspects en plus de celui que j’ai montré à la foule.
       Dans son sens universel, la parabole s’explique de la façon suivante : le champ, c’est le monde. La bonne semence, ce sont les fils du Royaume de Dieu semés par Dieu dans le monde en attendant d’arriver à leur fin et d’être coupés par la Faucheuse et amenés au Maître du monde pour qu’il les engrange dans ses greniers. L’ivraie, ce sont les fils du Malin répandus, à leur tour, sur le champ de Dieu dans l’intention de faire de la peine au Maître du monde et de nuire aussi aux épis de Dieu. Par un sortilège, l’Ennemi de Dieu les a semés exprès, car vraiment le diable dénature l’homme jusqu’à en faire une créature qui soit sienne, et il la sème pour corrompre les autres qu’il n’a pas pu asservir autrement. La moisson, ou plutôt la formation des gerbes et leur transport dans les greniers, c’est la fin du monde et ce sont les anges qui en sont chargés. Il leur a été ordonné de rassembler les créatures après la fenaison et de séparer le bon grain de l’ivraie ; et de même que, dans la parabole, on brûle cette dernière, ainsi, au Jugement dernier, les damnés seront brûlés dans le feu éternel.
       Le Fils de l’homme enverra ses anges pour extirper de son Royaume tous les artisans de scandale et d’iniquité. Car alors le Royaume se trouvera sur la terre et au Ciel, et aux citoyens du Royaume sur la terre seront mêlés de nombreux fils de l’Ennemi. Ceux-ci atteindront, comme l’annoncent les prophètes, la perfection du scandale et de l’abomination dans toute leur activité terrestre et ils causeront de terribles tracas aux fils de l’esprit. Dans le Royaume de Dieu, aux Cieux, on aura déjà expulsé les corrompus, car la corruption n’entre pas au Ciel. Donc, en passant la faux dans les rangs de la dernière récolte, les anges du Seigneur faucheront et sépareront le bon grain de l’ivraie ; ils jetteront cette dernière dans la fournaise ardente où il n’y a que pleurs et grincements de dents, et ils emmèneront les justes, le grain de choix, dans la Jérusalem éternelle où ils resplendiront comme autant de soleils dans le Royaume de mon Père, qui est aussi le vôtre.
       Voilà donc le sens universel. Tome 3 – ch 181.4