Mercredi 16 mars 2022 - Missionnaires de la Divine Volonté
De l’évangile de Matthieu 20, 17-28
Le fils de l’homme n’est pas venu pour être servi, mais pour servir et donner sa vie en rançon pour la multitude. Mt 20,28
je voulais payer de retour mon Père, car il était juste qu’il fût restauré dans son honneur, dans la gloire, dans l’amour et dans la gratitude que tous lui devaient…

 

Le livre du Ciel Tome 35, 25 décembre 1937
Je suis venu sur terre pour couvrir toutes choses de mon amour, pour noyer tous les maux et tout brûler de mon amour. En toute justice, je voulais payer de retour mon Père, car il était juste qu’il fût restauré dans son honneur, dans la gloire, dans l’amour et dans la gratitude que tous lui devaient –c’est pourquoi mon amour ne pouvait trouver de paix. Il a rempli les vides de sa gloire et de son honneur au point que, par l’amour, il paya de retour
la Divinité qui avait créé un ciel, un soleil, un vent, une mer, une floraison et tout le reste, alors que l’homme n’avait pas encore murmuré même un seul « Merci » pour tous les biens qu’il avait reçus. L’homme avait été le vrai voleur –l’ingrat –l’usurpateur de nos biens. Mon amour a couru afin de remplir les abysses de distance entre le Créateur et la créature. Il a payé mon céleste Père avec l’amour, et c’est avec l’amour qu’il a racheté les générations humaines pour leur rendre la vie de ma Divine Volonté, ayant déjà formé avec elle de nombreuses vies en rançon. Et lorsque c’est mon amour qui paye, sa valeur est telle qu’il peut payer pour tous et racheter tout ce qu’il veut. Par conséquent, tu as déjà été rachetée par mon amour ; alors, laisse-moi t’aimer et te posséder.

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :

 

 Nous, voilà, nous allons monter à Jérusalem pour la Pâque et là s’accompliront toutes les choses dites par les prophètes qui concernent le Fils de l’homme [3]. En vérité, comme l’ont vu les prophètes, comme déjà il est dit dans l’ordre donné aux hébreux d’Égypte [4], comme il fut ordonné à Moïse dans le désert, l’Agneau de Dieu va être immolé et son sang va laver les huisseries des cœurs, et l’ange de Dieu passera sans frapper ceux qui auront sur eux, et avec amour, le Sang de l’Agneau immolé, qui va être élevé comme le serpent de métal précieux sur la barre transversale, pour être un signe à ceux qui sont blessés par le serpent infernal, pour être le salut à ceux qui le regarderont avec amour. Le Fils de l’homme, votre Maître Jésus, va être livré aux mains des princes des prêtres, des scribes et des anciens qui le condamneront à mort et le livreront aux gentils pour qu’il soit livré au mépris.

Et on le giflera, on le frappera, on le couvrira de crachats, on le traînera sur les routes comme un chiffon immonde et puis les gentils [= les païens], après l’avoir flagellé et couronné d’épines, le condamneront à la mort de la croix réservée aux malfaiteurs, suivant la volonté du peuple hébreu rassemblé à Jérusalem, exigeant sa mort à la place de celle d’un larron, et Lui sera ainsi mis à mort. Mais, comme il est dit dans les signes des prophéties, après trois jours, il ressuscitera. Voilà l’épreuve qui vous attend, celle qui montrera votre formation.

En vérité je vous le dis, à vous tous qui vous croyez assez parfaits pour mépriser ceux qui n’appartiennent pas à Israël, et même pour mépriser beaucoup de notre propre peuple, en vérité je vous dis que vous, la partie élue de mon troupeau, une fois le Pasteur pris, serez saisis par la peur et vous vous débanderez en fuyant comme si les loups qui me saisiront de toutes parts se tournaient contre vous. Mais, je vous le dis : ne craignez pas. On ne touchera pas un cheveu de vos têtes. Moi, je suffirai pour rassasier les loups féroces…”

236>  577.5 – Les apôtres, à mesure que Jésus parle, semblent des gens sous une grêle de pierres. Ils se courbent même de plus en plus à mesure que Jésus parle. Et quand il termine :

“Et ce que je vous dis est désormais imminent. Ce n’est pas comme les autres fois où il y avait du temps avant l’heure. Présentement, l’heure est venue. Je vais être donné à mes ennemis et immolé pour le salut de tous, et ce bouton de fleur n’aura pas encore perdu ses pétales, après avoir fleuri, que je serai déjà mort”, les uns se cachent le visage de leurs mains, d’autres gémissent comme si on les avait blessés. L’Iscariote est livide, littéralement livide…   Tome 9, chapitre 577.