Samedi 27 novembre 2021 - Missionnaires de la Divine Volonté
De l’évangile de Luc 21, 34-36
 Restez éveillés et priez en tout temps
 Ma fille, te voulant dans ma Volonté, Je te veux en action continuelle. Ton esprit pleinement éveillé est action
 
Le livre du Ciel Tome 12, 12 décembre 1917
Mon Humanité n’avait pas de repos. Même durant mon sommeil, Je n’avais aucun répit. J’étais intensément à
l’oeuvre. Car, ayant à donner la vie à chaque chose et à chacun, Il m’était nécessaire de travailler sans arrêt. Celui qui doit donner la vie doit être continuellement en action. Si j’avais voulu me reposer, combien de vies n’auraient pu surgir? Combien, sans mon action continuelle, n’auraient pu se développer et seraient demeurées atrophiées? Combien n’auraient pu entrer en Moi parce que privées de l’acte vital de celui qui, seul, peut donner la vie? Ma fille, te voulant dans ma Volonté, Je te veux en action continuelle. Ton esprit pleinement éveillé est action, le murmure de ta prière est action, le mouvement de tes mains, les battements de ton coeur, les clignotements de tes paupières sont action. Tes gestes peuvent être petits, peu m’importe. Du moment que tu bouges, que tu sèmes, J’unis tes actions aux miennes et Je les fais grandes. Je leur donne la vertu de produire des vies. Beaucoup de mes actions étaient petites en apparence. Par exemple, quand J’étais petit, Je pleurais, Je suçais le lait de ma Mère, Je m’amusais à la baiser, à la caresser, à entrelacer mes petites mains avec les siennes. Un peu plus grand, Je cueillais des fleurs pour elle, Je puisais de l’eau, et ainsi de suite. C’était des actions petites. Mais, parce qu’elles étaient unies à la Volonté de ma Divinité, elles étaient capables de créer des millions de vies.

 

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :

Il en sera de la venue du Fils de l’homme comme au temps de Noé. Dans les jours qui précédèrent le déluge, les hommes mangeaient, buvaient, se mariaient, sans réfléchir au signe, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche ; alors s’ouvrirent les cataractes du ciel et le déluge submergea tous les vivants et toutes choses. Il en sera de même à la venue du Fils de l’homme. Deux hommes seront l’un près de l’autre dans un champ : l’un sera pris, l’autre laissé ; deux femmes seront appliquées à faire marcher la meule : l’une sera prise, l’autre laissée, par les ennemis de la patrie et plus encore par les anges qui sépareront la bonne semence de l’ivraie, et ils n’auront pas le temps de se préparer au jugement du Christ.

Veillez donc, car vous ne savez pas à quelle heure viendra votre Seigneur. Réfléchissez : si le chef de famille savait à quelle heure vient le voleur, il veillerait et ne laisserait pas dépouiller sa maison. Veillez donc et priez, en étant toujours préparés à sa venue, sans que vos cœurs tombent dans la torpeur par des abus et des excès de toutes sortes ; que vos âmes ne soient pas éloignées et fermées aux affaires du Ciel par le souci excessif des réalités de la terre, et que le lacet de la mort ne vous prenne pas à l’improviste quand vous ne serez pas préparés. Car, rappelez-vous, tous vous devez mourir. Tous les hommes, dès leur naissance, sont destinés à la mort. Cette mort et le jugement subséquent sont une venue particulière du Christ, qui devra se répéter pour tous les hommes à la venue solennelle du Fils de l’homme.