Mardi 14 septembre 2021 - Missionnaires de la Divine Volonté
De l’évangile de Jean 3, 13-17
Dieu, en effet, n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu’il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.…Jn 3, 17
Dans la sphère de mon Humanité, ma Volonté place mes travaux, mes pas, mes paroles, mon sang, mes blessures, mes peines, et tout ce que j’ai fait comme en action pour interpeller l’homme et lui donner l’aide et les moyens nécessaires pour qu’il soit sauvé…

 

Le livre du Ciel, Tome 18, 1er octobre 1925
« Dans la sphère de mon Humanité, ma Volonté place mes travaux, mes pas, mes paroles, mon sang, mes blessures, mes peines, et tout ce que j’ai fait comme en action pour interpeller l’homme et lui donner l’aide et les moyens nécessaires pour qu’il soit sauvé et revienne dans le sein de ma Volonté. Si ma Volonté avait interpellé l’homme directement, il aurait eu peur. À la place, j’ai choisi de l’attirer par tout ce que j’ai réalisé et souffert comme
autant d’encouragements et de moyens pour le faire revenir dans mes bras. «Vivant au centre de mon Humanité, l’âme qui vit dans ma Volonté profite pleinement des fruits de tout ce que j’ai fait et souffert et ma Volonté réalise totalement en elle le dessein pour lequel elle a été créée. Quant à celui qui ne vit pas dans ma Volonté, il peut très bien trouver le moyen d’être sauvé, mais il ne jouit pas de tous les fruits de la Création et de la Rédemption. »

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :

Chacun a sa méthode pour parvenir au port. N’importe quel vent convient pour celui qui sait se servir de la voile. Vous entendez souffler le vent, et vous pouvez vous baser sur sa direction pour diriger la manœuvre. Mais vous ne pouvez dire d’où il vient, ni appeler celui qu’il vous faut. L’Esprit aussi appelle, il arrive en appelant et il passe. Mais seul celui qui est attentif peut le suivre. Comme un fils connaît la voix de son père, l’âme engendrée par l’Esprit connaît sa voix.

– Comment cela peut-il se faire ?

– Toi qui es maître en Israël, tu me le demandes ? Tu ignores ces choses ? On parle et on rend témoignage de ce qu’on sait et de ce qu’on a vu. Or je parle et je témoigne de ce que je sais. Comment pourras-tu jamais accepter ce que tu n’as pas vues, si tu n’acceptes pas le témoignage que je t’apporte ? Comment pourras-tu croire à l’Esprit, si tu ne crois pas à la Parole incarnée ? Je suis descendu pour remonter et entraîner à ma suite ceux qui sont ici-bas. Un seul est descendu du Ciel : le Fils de l’Homme. Et un seul montera au ciel avec le pouvoir de l’ouvrir : moi, le Fils de l’Homme. Rappelle-toi Moïse. Il a élevé un serpent dans le désert pour guérir ceux qui étaient malades en Israël. Quand je serai élevé, ceux que maintenant la fièvre de la faute rend aveugles, sourds, muets, fous, lépreux, malades, seront guéris et quiconque croira en moi aura la vie éternelle. Même ceux qui auront cru en moi auront cette heureuse vie.

Ne baisse pas la tête, Nicodème. Je suis venu pour sauver, pas pour perdre. Dieu n’a pas envoyé son Fils unique dans le monde pour que ses habitants soient condamnés, mais pour que le monde soit sauvé par lui. Dans le monde, j’ai trouvé tous les péchés, toutes les hérésies, toutes les idolâtries. Mais l’hirondelle qui vole rapidement au-dessus de la poussière peut-elle souiller son plumage ? Non. Elle n’apporte sur les tristes chemins de la terre qu’une virgule d’azur, une odeur de ciel. Elle lance un appel pour secouer les hommes, pour élever leur regard au-dessus de la boue et leur faire suivre son vol qui revient vers le ciel. Il en est ainsi de moi. Je viens pour vous emmener avec moi. Venez !… Celui qui croit au Fils unique n’est pas jugé. Il est déjà sauvé, car ce Fils parle au Père et dit : “ Celui-ci m’aime. ” Mais celui qui ne croit pas, il est inutile qu’il fasse des œuvres saintes. Il est déjà jugé car il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.