Samedi 8 mai 2021 - Missionnaires de la Divine Volonté
De m’évangile de Jean 15, 18-21
Si le monde a de la haine contre vous, sachez qu’il en a eu d’abord contre moi. Jn 15,18
j’ai attiré sur moi calomnies, persécutions, contradictions et colère, la haine des Hébreux, la Passion et la mort même.
Le livre du Ciel Tome 30, 20 mars 1932
Mais quand je suis sorti de ma retraite et que je me suis fait connaître en disant que j’étais réellement le Messie, leur Rédempteur et leur Sauveur, malgré que je me sois fait connaître, j’ai attiré sur moi calomnies, persécutions, contradictions et colère, la haine des Hébreux, la Passion et la mort même. Tous ces maux qui sont tombés sur moi en avalanche ont commencé lorsque je me suis fait connaître, que j’ai affirmé qui j’étais réellement, le Verbe éternel descendu du ciel pour les sauver. Cela est si vrai que lorsque j’étais dans la maison de Nazareth et qu’ils ne savaient pas qui j’étais, personne ne me calomniait ni ne me voulait du mal. En me révélant, tous les maux sont tombés sur moi. Mais cela était nécessaire pour me faire connaître, sinon je serais reparti pour le ciel sans avoir accompli ce pour quoi je suis venu sur terre. Au contraire, en me faisant connaître, bien que
j’aie attiré tous les maux, et dans cet abîme de calamités, j’ai formé mes Apôtres, annoncé l’Évangile, opéré des prodiges, et ma connaissance a poussé mes ennemis à m’infliger toutes ces souffrances, jusqu’à me donner la mort sur la croix. Mais j’ai obtenu ce que je voulais : que beaucoup allaient me connaître parmi tant d’autres qui ne voulaient pas me connaître, et accomplir ma Rédemption. Je savais qu’en me faisant connaître la perfidie et l’orgueil des Hébreux allaient faire tout cela. Mais il était nécessaire que je me fasse connaître parce qu’une personne ou un bien qui n’est pas connu ne peut pas être porteur de vie ou de bien. Le bien et les vérités qui ne sont pas connus demeurent empêchés en eux-mêmes comme ces mères stériles qui s’éteignent avec leur génération. Tu vois donc combien il est nécessaire que l’on sache que je peux donner le Royaume de ma Divine Volonté, et que je veux le donner. Je peux dire qu’il y entre la même nécessité que de faire savoir que j’étais le Fils de Dieu quand je suis venu sur terre. Et il est également vrai que beaucoup en sachant cela vont refaire ce qu’ils ont fait lorsque j’ai fait savoir qui j’étais, le Messie tant attendu : calomnies, contradictions, doutes, suspicions, comme cela a déjà commencé dès la publication qui faisait connaître ma Divine Volonté. Mais cela n’est rien, et le bien possède la force de blesser le mal, les créatures et l’enfer qui, se sentant blessés, se sont armés contre le bien et voudraient l’annihiler avec celle ou celui qui voudrait le faire connaître. Mais en dépit de tout ce qu’ils ont voulu faire la première fois, parce que ma Volonté voulait que naisse sa connaissance et son désir de régner, ils l’ont comme étouffée et elle a cependant fait ses premiers pas, et ce que certains n’ont pas cru, d’autres l’ont cru. Le premier pas appellera le second, puis le troisième, et ainsi de suite, malgré le fait qu’il ne manquera pas de gens pour soulever des contradictions et des doutes ; mais il est absolument nécessaire que l’on connaisse ma Divine Volonté, qu’on sache que je peux la donner et que je veux la donner. Telles sont les conditions sans lesquelles Dieu ne peut pas donner ce qu’il veut donner, et sans quoi la créature ne peut pas le recevoir. Par conséquent, prie et ne cesse pas de faire connaître ma Divine Volonté. Les temps, les circonstances et les personnes changent, ce ne sont pas toujours les mêmes. Ce que l’on ne peut pas obtenir aujourd’hui peut être obtenu demain, en dépit de la confusion de ceux qui ont étouffé un si grand bien. Mais ma Volonté triomphera et aura son Royaume sur la terre.

 

Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :

Ce que je vous commande, c’est de vous aimer et de pardonner. Avez-vous compris ? Si le monde connaît la haine, n’ayez en vous que de l’amour. Pour tous. Combien de traîtres trouverez-vous sur votre route ! Mais vous ne devez pas haïr et rendre le mal pour le mal. Autrement, le Père ne vous pardonnera pas. J’ai été haï et trahi avant vous. Et pourtant, vous le voyez, je ne hais personne. Le monde ne peut aimer ce qui n’est pas comme lui. Il ne vous aimera donc pas. Si vous lui apparteniez, il vous aimerait ; mais vous n’êtes pas du monde, car je vous ai pris du milieu du monde, et c’est pour cela que vous êtes détestés.

Je vous ai dit : le serviteur n’est pas plus grand que son maître. S’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront vous aussi. S’ils m’ont écouté, ils vous écouteront vous aussi. Mais ils feront tout à cause de mon nom, parce qu’ils ne connaissent pas, ne veulent pas connaître Celui qui m’a envoyé. Si je n’étais pas venu et ne leur avais pas parlé, ils ne seraient pas coupables, mais maintenant leur péché est sans excuse. Ils ont vu mes œuvres, entendu mes paroles, et pourtant ils m’ont haï, et avec moi le Père, parce que le Père et moi, nous sommes une seule Unité avec l’Amour.