« Car Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que, par lui, le monde soit sauvé. » Saint Jean (3, 14-21)
« Car Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que, par lui, le monde soit sauvé. […] je pensais à tout ce que mon cher Jésus a réalisé et souffert pour sauver les âmes.
Le Livre du Ciel Tome 14, 29 août 1922
Luisa : Étant dans mon état habituel, je pensais à tout ce que mon cher Jésus a réalisé et souffert pour sauver les âmes. Il vint et me dit :
« Ma chère fille, tout ce que mon Humanité a accompli, mes Prières, mes Paroles, mes Travaux, mes Pas et mes Peines était pour l’homme. Mais qui se greffe sur ces actes ? Qui accueille mes bienfaits ? Celui qui s’approche de Moi et prie en s’unissant à Moi se greffe sur mes Prières et sur leurs fruits. Celui qui parle et enseigne en étant uni à Moi se greffe sur les fruits de mes Paroles. Celui qui souffre en union avec Moi se greffe sur les bienfaits de mes Travaux et de mes Peines. Et si les créatures ne profitent pas des bienfaits que J’ai acquis pour elles, ces bienfaits restent comme suspendus. La créature qui n’est pas greffée sur Moi n’est pas nourrie des bienfaits de mon Humanité, lesquels Je lui offre avec tant d’Amour. S’il n’y a pas d’union entre deux êtres, les bienfaits de l’un sont comme morts pour l’autre. Imagine une roue : le centre est mon Humanité ; les rayons sont tout ce que J’ai réalisé et souffert. La jante à laquelle les rayons se joignent est la famille humaine qui tourne autour du centre. Si la jante ne reçoit pas l’appui des rayons, la roue ne peut profiter du bien qu’offre le centre. Oh ! Comme Je souffre de voir tous mes bienfaits suspendus et de voir que l’ingrate famille humaine, non seulement ne les reçoit pas, mais les méprise et les piétine ! Voilà pourquoi Je recherche avec un tel empressement des âmes qui voudront vivre dans ma Volonté, afin que Je les rattache aux rayons de ma roue. Ma Volonté leur donnera la grâce de former la jante de cette roue. Ces âmes recevront les bienfaits qui ont été rejetés et méprisés par les autres. »
Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :
(…) Ne baisse pas la tête, Nicodème. Je suis venu pour sauver, pas pour perdre. Dieu n’a pas envoyé son Fils unique dans le monde pour que ses habitants soient condamnés, mais pour que le monde soit sauvé par lui. Dans le monde, j’ai trouvé tous les péchés, toutes les hérésies, toutes les idolâtries. Mais l’hirondelle qui vole rapidement au-dessus de la poussière peut-elle souiller son plumage ? Non. Elle n’apporte sur les tristes chemins de la terre qu’une virgule d’azur, une odeur de ciel. Elle lance un appel pour secouer les hommes, pour élever leur regard au-dessus de la boue et leur faire suivre son vol qui revient vers le ciel. Il en est ainsi de moi. Je viens pour vous emmener avec moi. Venez !… Celui qui croit au Fils unique n’est pas jugé. Il est déjà sauvé, car ce Fils parle au Père et dit : « Celui-ci m’aime. » Mais celui qui ne croit pas, il est inutile qu’il fasse des œuvres saintes. Il est déjà jugé car il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. (…)