« Les gens de chez lui, l’apprenant, vinrent pour se saisir de lui, car ils affirmaient : « Il a perdu la tête. » Saint Marc (3.20-21)
« Les gens de chez lui, l’apprenant, vinrent pour se saisir de lui…[…] Comme je m’approchais de Jésus pour le consoler, quelques personnes se saisirent de lui et le réduisirent en pièces. »
Le Livre du Ciel Tome 11, 5 février 1916
Mes jours se poursuivent dans l’affliction, spécialement à cause des propos sans cesse répétés de Jésus qui me disent que les châtiments vont aller en augmentant. La nuit dernière, j’ai été terrorisée. J’étais hors de mon corps et j’ai trouvé mon Jésus affligé. J’ai cru que j’allais renaître à une vie nouvelle, mais il n’en fut rien. Comme je m’approchais de Jésus pour le consoler, quelques personnes se saisirent de lui et le réduisirent en pièces. Quel choc, quelle frayeur ! Je me suis jetée par terre près d’un de ces morceaux et une voix venue du Ciel proclama :
« Fermeté et courage pour les quelques bons qui restent ! Puissent-ils rester fermes et ne rien négliger. Ils seront exposés à de grandes tribulations de la part de Dieu et de la part des hommes. C’est seulement par leur fidélité qu’ils ne chancelleront pas et seront sauvés. La terre sera submergée de fléaux jamais vus auparavant. Au prix des pires carnages, les créatures tenteront de détruire leur Créateur pour avoir leur propre dieu et satisfaire leurs caprices. N’atteignant pas leur but, ils en arriveront aux plus horribles brutalités. Tout ne sera que terreur. »
Par la suite, toute tremblante, je suis revenue dans mon corps. La pensée de mon bien-aimé Jésus réduit en pièces me donnait la mort. Je voulais le revoir à tout prix pour savoir ce qu’il était advenu de lui. Mon toujours bon Jésus vint et je me suis calmée. Puisse-t-il être toujours béni.