« Je suis la voix de celui qui crie dans le désert : Redressez le chemin du Seigneur, comme a dit le prophète Isaïe. » Saint Jean (1,19-28)
« Je suis la voix de celui qui crie dans le désert : Redressez le chemin du Seigneur, comme a dit le prophète Isaïe. […] toutes les vérités que je t’ai dites sur ma Divine Volonté sont autant de voies qui lui permettent de faire son chemin dans la volonté humaine qui préparera et formera ensuite mon Royaume parmi les créatures.»
Le Livre du Ciel Tome 25, 17 octobre 1928
« Ma fille, chaque vérité que j’ai manifestée sur ma Divine Volonté n’est pas seulement une Vie divine sortie de moi-même, mais possède aussi un doux enchantement pour ravir la volonté humaine qui, charmée par la mienne, se sentira sous le charme d’une inactivité qui laissera le champ libre à ma Divine Volonté. Ainsi, chaque vérité sur ma Divine Volonté sera une terrible armée contre la volonté humaine. Mais sais-tu ce qui la rendra terrible ? La lumière, la force, l’amour, la beauté, la sainteté seront les armes utilisées pour faire la guerre à la volonté humaine. La volonté humaine, face à ces armes, subira un doux enchantement et se laissera conquérir par le divin Fiat. Par conséquent, chaque connaissance supplémentaire sur ma Volonté est un enchantement de plus que subira la volonté humaine. On peut dire que toutes les vérités que je t’ai dites sur ma Divine Volonté sont autant de voies qui lui permettent de faire son chemin dans la volonté humaine qui préparera et formera ensuite mon Royaume parmi les créatures. Et tout comme chaque vérité possède un enchantement, chaque acte accompli dans ma Volonté par la créature est une rencontre avec ma Volonté pour recevoir toute la force de ce divin enchantement. Ainsi, plus elle accomplit d’actes de ma Volonté, plus elle perd du terrain humain pour en acquérir du divin. Et si elle se plonge tout entière dans ma Volonté, la seule chose qui lui restera sera le souvenir qu’elle possède une volonté, mais qu’elle la tient au repos et comme enchantée par ma Divine Volonté.»