«Mais voici que tu seras réduit au silence et, jusqu’au jour où cela se réalisera, tu ne pourras plus parler, parce que tu n’as pas cru à mes paroles ; celles-ci s’accompliront en leur temps. » Saint Luc (1-5, 25)
«tu ne pourras plus parler, parce que tu n’as pas cru à mes paroles […] celui qui, faute de prendre en considération ma parole, l’a étouffée en moi. »
Le Livre du Ciel Tome 20, 9 février 1927
Ma fille, ils auront en vérité des comptes à me rendre. S’ils croyaient que c’était moi, le compte sera très strict, parce que croire que c’est moi et ne pas tenir compte d’une seule de mes paroles, c’est comme s’ils voulaient faire obstacle à une mer de biens pour les créatures, parce que ma parole vient toujours de la force de ma Puissance créatrice. En fait, j’ai prononcé un Fiat dans la Création, et j’ai étendu des cieux constellés d’innombrables millions d’étoiles ; un notre Fiat, et j’ai formé le soleil. Je n’ai pas prononcé vingt mots pour former tant de choses dans la Création, mais un seul Fiat m’a suffi. Ma parole contient toujours sa Puissance créatrice, et ni toi ni personne ne peut savoir si ma parole est dirigée pour former un ciel, une étoile, une mer, un soleil pour les âmes. Par conséquent, ne pas en tenir compte et ne pas la présenter aux créatures, c’est comme me retourner ce ciel, ce soleil, ces étoiles et cette mer, alors qu’ils pourraient faire tant de bien aux créatures. Et le tort qui s’ensuivrait serait imputé à celui qui, faute de prendre en considération ma parole, l’a étouffée en moi. Par ailleurs, s’ils ne croient pas que c’est moi, c’est encore pire, car ils sont alors aveugles au point de ne pas avoir les yeux pour voir le Soleil de ma parole ; et l’incrédulité mène à l’obstination et à la dureté de cœur, alors que la croyance adoucit le cœur, dispose à être gagné par la grâce et à recevoir la vue pour comprendre mes vérités. »