« Car Jean le Baptiste est venu à vous sur le chemin de la justice, et vous n’avez pas cru à sa parole. » Saint Matthieu (21,28-32)
« Car Jean le Baptiste est venu à vous sur le chemin de la justice, et vous n’avez pas cru à sa parole. […] ce que certains n’ont pas cru, d’autres l’ont cru. »
Le Livre du Ciel Tome 30, 20 mars 1932
« Tous ces maux qui sont tombés sur moi en avalanche ont commencé lorsque je me suis fait connaître, que j’ai affirmé qui j’étais réellement, le Verbe éternel descendu du ciel pour les sauver. Cela est si vrai que lorsque j’étais dans la maison de Nazareth et qu’ils ne savaient pas qui j’étais, personne ne me calomniait ni ne me voulait du mal. En me révélant, tous les maux sont tombés sur moi. Mais cela était nécessaire pour me faire connaître, sinon je serais reparti pour le ciel sans avoir accompli ce pour quoi je suis venu sur terre. Au contraire, en me faisant connaître, bien que j’aie attiré tous les maux, et dans cet abîme de calamités, j’ai formé mes Apôtres, annoncé l’Évangile, opéré des prodiges, et ma connaissance a poussé mes ennemis à m’infliger toutes ces souffrances, jusqu’à me donner la mort sur la croix. Mais j’ai obtenu ce que je voulais : que beaucoup allaient me connaître parmi tant d’autres qui ne voulaient pas me connaître, et accomplir ma Rédemption. Je savais qu’en me faisant connaître la perfidie et l’orgueil des Hébreux allaient faire tout cela. Mais il était nécessaire que je me fasse connaître parce qu’une personne ou un bien qui n’est pas connu ne peut pas être porteur de vie ou de bien. Le bien et les vérités qui ne sont pas connus demeurent empêchés en eux-mêmes comme ces mères stériles qui s’éteignent avec leur génération. Tu vois donc combien il est nécessaire que l’on sache que je peux donner le Royaume de ma Divine Volonté, et que je veux le donner. Je peux dire qu’il y entre la même nécessité que de faire savoir que j’étais le Fils de Dieu quand je suis venu sur terre. Et il est également vrai que beaucoup en sachant cela vont refaire ce qu’ils ont fait lorsque j’ai fait savoir qui j’étais, le Messie tant attendu : calomnies, contradictions, doutes, suspicions, comme cela a déjà commencé dès la publication qui faisait connaître ma Divine Volonté. Mais cela n’est rien, et le bien possède la force de blesser le mal, les créatures et l’enfer qui, se sentant blessés, se sont armés contre le bien et voudraient l’annihiler avec celle ou celui qui voudrait le faire connaître. Mais en dépit de tout ce qu’ils ont voulu faire la première fois, parce que ma Volonté voulait que naisse sa connaissance et son désir de régner, ils l’ont comme étouffée et elle a cependant fait ses premiers pas, et ce que certains n’ont pas cru, d’autres l’ont cru. Le premier pas appellera le second, puis le troisième, et ainsi de suite, malgré le fait qu’il ne manquera pas de gens pour soulever des contradictions et des doutes ; mais il est absolument nécessaire que l’on connaisse ma Divine Volonté, qu’on sache que je peux la donner et que je veux la donner. Telles sont les conditions sans lesquelles Dieu ne peut pas donner ce qu’il veut donner, et sans quoi la créature ne peut pas le recevoir. Par conséquent, prie et ne cesse pas de faire connaître ma Divine Volonté. Les temps, les circonstances et les personnes changent, ce ne sont pas toujours les mêmes. Ce que l’on ne peut pas obtenir aujourd’hui peut être obtenu demain, en dépit de la confusion de ceux qui ont étouffé un si grand bien. Mais ma Volonté triomphera et aura son Royaume sur la terre. »