« Le nom de la jeune fille était Marie ». Saint Luc (1, 26-38)
« Le nom de la jeune fille était Marie […] Dès le premier instant de son immaculée Conception, elle reçut cet acte de vie de la Divine Volonté, pour le recevoir ensuite continuellement durant toute sa vie. »
Le Livre du Ciel Tome 20, 10 décembre 1926
« Veux-tu savoir qui est celle qui se laissa dominer par cet acte continu de ma suprême Volonté et qui, sans jamais donner vie à sa volonté propre, a reçu cet acte continu de vie de la Divine Volonté, de manière à former en elle une vie pleinement divine et à la ressemblance de son Créateur ? Ce fut la céleste et souveraine Reine. Dès le premier instant de son immaculée Conception, elle reçut cet acte de vie de la Divine Volonté, pour le recevoir ensuite continuellement durant toute sa vie. Ce fut le très grand prodige, le miracle inouï : la vie de la Divine Volonté dans l’Impératrice du ciel. En fait, un seul acte de vie de ce Fiat peut créer des cieux, des soleils, des mers, des étoiles et tout ce qu’il veut ; ainsi, tous les actes humains placés devant un seul acte de ma Volonté sont comme autant de gouttes d’eau qui se dissolvent dans l’océan, comme autant de petites flammes devant le soleil, comme autant d’atomes dans le grand espace de l’univers. Imagine alors toi-même à quelle hauteur doit être la Reine immaculée avec cette vie d’acte continu de Divine Volonté en elle – une Vie divine, une Volonté immense et éternelle qui possède tous les biens possibles et imaginables. Par conséquent, dans toutes les fêtes où l’Église honore ma Maman, le ciel tout entier célèbre, glorifie, loue et remercie la suprême Volonté, parce qu’il voit sa Vie en elle – la cause première par laquelle elle a obtenu le Rédempteur tant attendu ; et parce que ce Fiat avait la vie qui régnait et dominait en elle, le ciel se trouve en possession de la Jérusalem céleste. C’est précisément la Divine Volonté formant sa vie dans cette Créature d’excellence qui a ouvert le ciel qui avait été fermé par la volonté humaine. C’est donc avec justice que lorsqu’ils célèbrent la Reine, ils célèbrent le Fiat suprême qui a créé sa Reine, a régné en elle, formé sa vie et est la cause première de son bonheur éternel. »