« Si l’un de vous a cent brebis et qu’il en perd une, n’abandonne-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour aller chercher celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il la retrouve ? » Saint Luc (15, 1-10).
« Si l’un de vous a cent brebis et qu’il en perd une, n’abandonne-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour aller chercher celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il la retrouve ? […] mes pas sont encore sur la terre à la recherche des créatures ils n’arrêtent jamais.»
Le Livre du Ciel Tome 35, 18 décembre 1937
« Même ma vie ici-bas ne fit rien d’autre que libérer la vie hors de moi-même, au point que mes pas sont encore sur la terre à la recherche des créatures ils n’arrêtent jamais. Tous les siècles auront la vie de mes pas. Ma bouche est encore en train de parler parce que chacune de mes paroles contenait une vie qui parle toujours. Seuls ceux qui ne veulent pas écouter ne peuvent entendre ma voix. Mes larmes sont remplies de vie et toujours dans l’acte de couler sur le pécheur pour le toucher, l’amener au repentir et le convertir, ainsi que sur les justes et les bonnes âmes pour les embellir et conquérir leur cœur pour m’aimer. Chaque souffrance chaque goutte de mon sang est une vie distincte qui contient et forme une force pour les souffrances de toutes les créatures, et un bain pour tous leurs péchés. Ce sont les prodiges de ma Volonté. Lorsqu’elle règne avec sa vertu créatrice sur chaque acte même le plus insignifiant, ma Volonté crée la vie pour nous faire aimer. Tu dois être convaincue qu’avec un si grand amour, il n’est pas possible que nous ne soyons pas aimés. Par conséquent, notre Volonté qui pense à tout et sait faire toute chose crée de nombreuses vies à partir des actes de la créature qui vit en elle. Elle compense pour notre amour et rend moins vive notre impatience d’amour et notre éternel délire d’amour. Par conséquent, vis toujours dans notre Volonté. Elle aime toujours, et tu seras l’enchantement de tout le ciel, notre fête perpétuelle et nous serons à toi. Nous nous célébrerons l’un l’autre.»