RESTER UNI À JÉSUS - Missionnaires de la Divine Volonté

Quiconque essaie de rester uni à Jésus et modèle sa vie sur la sienne ajoute une branche à l’arbre de I’Humanité de Jésus.

…Jésus me dit:
«Quiconque marche sur le chemin des vertus vit de ma propre Vie.
Quiconque marche sur le chemin du vice vit en contradiction avec Moi.»
Il ajouta:
Par mon Incarnation, mon Humanité se greffa sur ma Divinité.

Quiconque cherche
-à rester uni à Moi  par sa volonté, ses actes et son cœur,

-à vivre sa vie en imitant la mienne,
grandit dans ma propre Vie et
développe la greffe que j’ai faite de mon Humanité sur ma Divinité,
ajoutant une branche à l’arbre de mon Humanité.
Si, par contre, l’âme ne s’unit pas à Moi, elle ne développe pas sa branche sur mon Humanité.

Quiconque choisit de ne pas être avec Moi ne peut avoir la vie: Il est perdu et s’en va à la ruine.»

Une fois encore il disparut.
Puis j’ai quitté mon corps et me suis trouvée à l’intérieur d’un jardin de roses.
– Certaines roses étaient très belles et bien formées. Leurs pétales étaient à demi ouverts.
– D’autres roses perdaient leurs pétales à la moindre brise jusqu’à ce qu’il ne reste plus que leur tige.

Un jeune homme je ne sais pas qui il était – me dit:

«Les premières roses représentent les âmes vivant dans l’intériorité.
-Ces âmes montrent une beauté, une fraîcheur et une constance qui empêchent leurs pétales
(les vertus) de tomber par terre.
-Le fait que leurs pétales sont à demi fermés symbolise l’ouverture qu’elles font au monde
extérieur. Ayant la Vie en elles, elles sont parfumée~ de la sainte charité.
Comme des lumières, elles brillent devant Dieu et les hommes.
«Les secondes roses représentent les âmes frivoles:
le peu de bien qu’elles font est fait pour que tous le voient.
-Leurs pétales grands ouverts symbolisent qu’elles n’ont pas Dieu et son amour
comme leur  seul but.
-Leurs pétales (leurs vertus) sont attachés faiblement: sitôt qu’une brise de fierté, de plaisirs,
d’amour-propre ou de respect humain commence à souffler, ils tombent.
Il ne reste que les épines qui piquent leur conscience.»
Le Livre du Ciel:                    
 Tome 5   –   2 octobre 1903         Luisa Piccarreta