Généalogie de Jésus, Christ, fils de David, fils d’Abraham. Abraham engendra Isaac, Isaac engendra Jacob, Jacob engendra Juda et ses frères, Juda, de son union avec Thamar, engendra Pharès et Zara, Pharès engendra Esrom, Esrom engendra Aram, Aram engendra Aminadab, Aminadab engendra Naassone, Naassone engendra Salmone, Salmone, de son union avec Rahab, engendra Booz, Booz, de son union avec Ruth, engendra Jobed, Jobed engendra Jessé, Jessé engendra le roi David. David, de son union avec la femme d’Ourias, engendra Salomon, Salomon engendra Roboam, Roboam engendra Abia, Abia engendra Asa, Asa engendra Josaphat, Josaphat engendra Joram, Joram engendra Ozias, Ozias engendra Joatham, Joatham engendra Acaz, Acaz engendra Ézékias, Ézékias engendra Manassé, Manassé engendra Amone, Amone engendra Josias, Josias engendra Jékonias et ses frères à l’époque de l’exil à Babylone. Après l’exil à Babylone, Jékonias engendra Salathiel, Salathiel engendra Zorobabel, Zorobabel engendra Abioud, Abioud engendra Éliakim, Éliakim engendra Azor, Azor engendra Sadok, Sadok engendra Akim, Akim engendra Élioud, Élioud engendra Éléazar, Éléazar engendra Mattane, Mattane engendra Jacob, Jacob engendra Joseph, l’époux de Marie, de laquelle fut engendré Jésus, que l’on appelle Christ. Le nombre total des générations est donc : depuis Abraham jusqu’à David, quatorze générations ; depuis David jusqu’à l’exil à Babylone, quatorze générations ; depuis l’exil à Babylone jusqu’au Christ, quatorze générations.
Généalogie de Jésus, Christ, fils de David, fils d’Abraham. Mt 1, 1
Mon Humanité était sainte. Elle n’avait hérité d’aucune des misères du premier homme.
Le livre du Ciel Tome 14, 27 octobre 1922
Je réfléchissais sur ce que j’avais écrit de la part de Jésus dans les derniers jours et je me disais : « Comment est-il possible que mon doux Jésus ait attendu si longtemps pour révéler ce que son Humanité a accompli dans la Divine Volonté par amour pour nous ?» Pendant que je réfléchissais ainsi, mon toujours aimable Jésus se manifesta avec son cœur visible et me dit : Fille de ma Volonté, pourquoi es-tu si pensive ? La même chose est arrivée concernant la Création Pendant longtemps je l’ai formée dans ma pensée. C’est seulement quand cela m’a plu que je l’ai actualisée. Il en fut de même pour la Rédemption. Mais combien plus longtemps encore n’a-t-elle pas existé dans ma pensée ? On peut dire qu’elle a résidé en moi de toute éternité. Pendant longtemps j’ai voulu descendre du Ciel pour l’amener à son accomplissement. C’est ma façon de faire: J’engendre d’abord dans ma pensée et, au moment propice, J’actualise. Sache d’autre part que mon Humanité porta deux générations : les enfants de la noirceur et les enfants de la lumière. Je suis venu délivrer les premiers et, pour cela, j’ai versé mon sang. Mon Humanité était sainte. Elle n’avait hérité d’aucune des misères du premier homme. Quoiqu’il est vrai que mon Humanité a possédé des particularités et des traits naturels comme tous les hommes, il est non moins vrai qu’elle a été parfaite, dépourvue de toute défaillance qui aurait pu obscurcir ma sainteté. J’étais immergé dans la Volonté de mon Père céleste, dans laquelle se sont développés tous mes actes humains pour former la génération des enfants de la lumière. Je ne me suis épargné aucune fatigue, aucune souffrance, aucune action, aucune prière pour réaliser cette oeuvre. En fait, cette génération de la lumière a été la suprême motivation pour tout ce que j’ai fait et souffert. C’était ces enfants de la lumière que le Père céleste m’avait confiés avec tant d’amour. Ils furent mon héritage chéri qui me fut accordé par la suprême Volonté. Après avoir appliqué les bienfaits de la Rédemption et fourni à tous les moyens nécessaires pour être sauvés, Je vais maintenant plus loin en annonçant qu’il y a une autre génération dans ma pensée : la génération de mes enfants destinés à vivre dans la Divine Volonté. Pour eux, j’ai préparé toutes les grâces, accompli tous mes actes intérieurs dans la Volonté éternelle.
Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :
Bref, que voulez-vous ? demande sèchement Jacques, fils d’Alphée.
– Et toi, qui es-tu ?
– Je suis Jacques, fils d’Alphée, Alphée, fils de Jacob, fils de Mathan, fils d’Eléazar, et si tu veux, je te nomme tous mes ancêtres jusqu’au roi David dont je descends. Je suis aussi le cousin du Messie. Je te prie donc de parler avec moi, qui suis de souche royale et de race juive, s’il déplaît à ta grandeur de parler avec un honnête israélite qui connaît Dieu mieux que Gamaliel et que Caïphe. Tome 2 – ch 123.7