Mardi 9 décembre 2025 - Missionnaires de la Divine Volonté

SAINT JUAN DIEGO CUAUHTLATOATZIN (1474-1548)

au sein de l’Empire Aztèque, au centre de l’actuel Mexique. Il eut cinq apparitions de la Vierge Marie, du 9 au 12 décembre 1531, sur le Mont du Tepeyac. Après les apparitions, Juan Diego vécut pendant 17 ans comme ermite, il s’occupait de la chapelle et des premiers pèlerins venus vénérer l’image de Notre Dame de Guadalupe. 

 

De l’Évangile de Matthieu 18, 12-14
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Quel est votre avis ? Si un homme possède cent brebis et que l’une d’entre elles s’égare, ne va-t-il pas laisser les 99 autres dans la montagne pour partir à la recherche de la brebis égarée ? Et, s’il arrive à la retrouver, amen, je vous le dis : il se réjouit pour elle plus que pour les 99 qui ne se sont pas égarées. Ainsi, votre Père qui est aux cieux ne veut pas qu’un seul de ces petits soit perdu. » 

 

Ainsi, votre Père qui est aux cieux ne veut pas qu’un seul de ces petits soit perdu. Mt 18, 14
J’ai senti ton amour au nom des âmes perdues, en conséquence, mon Cœur a ressenti une tendresse spéciale envers toi.

 

Le livre du Ciel Tome 12, 6 décembre 1919
 Je ne me sens pas la force d’écrire ce qu’on me demande. Je ne dirai que quelques mots de ce que je n’avais même pas pensé de mettre sur papier et que mon doux Jésus m’a remémoré. Un soir, j’adorais mon Jésus crucifié en lui disant : « Mon Amour, dans ta Volonté et au nom de toute la famille humaine, je t’adore, je te serre dans mes bras et je répare. Je donne tes Plaies et ton Sang à tous afin que tous soient sauvés. Et comme les âmes perdues ne peuvent plus profiter de ton Sang très précieux et t’aimer, je le fais à leur place. Je veux qu’en aucune manière ton Amour soit fraudé par les créatures. Je veux t’aimer et compenser au nom de tous, du premier homme jusqu’au dernier. » Pendant que je disais cela et bien d’autres choses, mon doux Jésus étendit ses bras autour de mon cou et me serra sur lui en me disant : « Ma fille, écho de ma vie, pendant que tu priais, ma miséricorde se raviva et ma justice perdit sa sévérité. Et cela, pas seulement pour le temps présent, mais aussi pour les temps à venir : tes prières dans ma Volonté resteront agissantes. J’ai senti ton amour au nom des âmes perdues, en conséquence, mon Cœur a ressenti une tendresse spéciale envers toi. Trouvant en toi l’amour que ces âmes me doivent, Je t’ai versé les grâces que J’avais prévues pour elles. »


Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :
Azarias [l’Ange Gardien de Maria Valtorta] dit :
«  Les fautes des peuples sont si nombreuses et telles que, si la clémence et la patience de Dieu n’étaient pas infinies, depuis longtemps le monde serait détruit comme horreur de l’univers, horreur que l’on supprime, parce que dans la création parfaite ce qui est ignominieux ne doit pas subsister.
Mais il y a encore des justes dans le monde, qui désormais est vraiment le vestibule de l’enfer et le territoire de Satan. Ils sont rares comme les étoiles dans une nuit de tempête, comme les palmiers dans l’immensité aride des déserts. Mais, comme on le comprend depuis l’épisode d’Abraham, Dieu est prêt à faire preuve de miséricorde même envers les pécheurs, pour les sauver de la punition, s’il trouve parmi eux des justes qui prient. Il veut les sauver des détresses matérielles et morales tant que dure leur jour, leur laisser le temps de revenir au Seigneur jusqu’à leur soir. Cela ne signifie pas les sauver au-delà de la vie s’ils ont mérité le châtiment car, au Jour de Dieu, les intercessions des justes pour rendre la santé à ceux qui sont morts à la grâce ne servent plus à rien. La justice veut suivre son cours. Même s’ils hurlent avec colère et rébellion au Juge éternel : “ Tu nous hais et nous frustres de notre part de bien ”, il leur répondra avec justice : “ Non. Je vous ai donné votre part. Vous vouliez jouir. Jouir de richesses, de puissances, de luxures, de fêtes, obtenues par tous les moyens. Vous les avez eues. Je vous ai laissé jouir comme vous le vouliez. Vous avez choisi. Je respecte votre choix et vous le laisse pour l’éternité. Ceux qui entrent dans mon Royaume, ce sont ceux qui ont vécu chastement, dans la tempérance, qui ont été justes et miséricordieux, qui ont souffert et pleuré même par votre faute, ceux qui ont aimé Dieu, leur prochain et même vous qui les tourmentiez. Allez-vous-en ! Ne disiez-vous pas que c’était de la bêtise de remettre la joie à plus tard et qu’il était sage de profiter du présent dont on est sûr ? C’est ce que je vous accorde. Vous avez joui dans le petit présent ; maintenant souffrez dans l’éternel présent. ”
Les justes prient pour les pécheurs. Malheur s’il n’en était pas ainsi ! Au bain quotidien et perpétuel du divin Sang se mêlent les prières et les larmes des justes. Cette pluie de charité nettoie le monde de ce surplus d’ordure que l’infinie miséricorde ne pourrait supporter. Il s’ensuit que le monde peut durer bien que l’œil de Dieu le regarde avec une sévérité qui nous impressionne, nous les anges. Si par hasard un seul jour passait sans que soit accomplie la moindre œuvre de justice sur votre globe terrestre, si par hasard il se produisait un jour que les justes deviennent pécheurs, alors la lumière ne reviendrait pas éclairer la terre, car elle n’existerait plus. La justice, dans la nuit, l’aurait effacée d’entre les œuvres créées. »
Le Livre d’Azarias, 17 novembre 1946