Samedi 6 décembre 2025 - Missionnaires de la Divine Volonté

SAINT NICOLAS IIIe-IVe SIÈCLE – SAINT PATRON DES ENFANTS ET DES MARINS

De l’Évangile de Matthieu 9, 35-10,1.5 a.6-8
En ce temps-là, Jésus parcourait toutes les villes et tous les villages, enseignant dans leurs synagogues, proclamant l’Évangile du Royaume et guérissant toute maladie et toute infirmité. Voyant les foules, Jésus fut saisi de compassion envers elles parce qu’elles étaient désemparées et abattues comme des brebis sans berger. Il dit alors à ses disciples : « La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson. » Alors Jésus appela ses douze disciples et leur donna le pouvoir d’expulser les esprits impurs et de guérir toute maladie et toute infirmité. Ces douze, Jésus les envoya en mission avec les instructions suivantes : « Allez vers les brebis perdues de la maison d’Israël. Sur votre route, proclamez que le royaume des Cieux est tout proche. Guérissez les malades, ressuscitez les morts, purifiez les lépreux, expulsez les démons. Vous avez reçu gratuitement : donnez gratuitement. » 

 

Allez vers les brebis perdues de la maison d’Israël. Mt 10, 6
J’étais homme et Dieu, mon Humanité voyait tous les péchés, tous les châtiments et toutes les âmes perdues.

 

Le livre du Ciel Tome 6, 13 novembre 1904
« Ma fille, puisque J’étais homme et Dieu, mon Humanité voyait tous les péchés, tous les châtiments et toutes les âmes perdues. J’aurais voulu tout réunir en un seul point, détruire les péchés et les châtiments, et sauver les âmes. J’aurais voulu souffrir la Passion non pas un seul jour, mais tous les jours, pour pouvoir contenir en Moi toutes ces souffrances et épargner les pauvres créatures. J’aurais aimé faire ainsi et J’aurais pu le faire. Cependant, J’aurais alors détruit chez mes créatures le libre arbitre. Et qu’est-ce qu’il leur serait arrivé sans leurs propres mérites et leur propre volonté pour l’accomplissement du bien ? À quoi mes enfants auraient-ils ressemblé ? Auraient-ils encore été dignes de ma sagesse créatrice ? Certainement pas. ! Ils auraient été comme des étrangers qui, n’ayant pas travaillé avec les autres enfants, n’auraient aucun droit, n’auraient droit à aucun héritage. Ils auraient mangé et bu avec honte. Parce qu’ils n’auraient fait aucun acte valable pour témoigner de leur amour envers le père. Ils n’auraient jamais pu être dignes de l’amour du père. En somme, sans le libre arbitre, les créatures n’auraient jamais été dignes de l’Amour divin. D’autre part, Je ne pouvais pas contrevenir à ma Sagesse Créatrice.


Correspondances dans « L’évangile tel qu’il m’a été révélé » de Maria Valtorta :
Notre séjour est terminé. Le temps de la fête des Tentes approche. Ceux auxquels j’ai parlé en particulier ce matin, partiront dès demain pour me précéder et m’annoncer aux populations. Que ceux qui restent ne se découragent pas. J’ai gardé certains d’entre eux pour une raison de prudence, non par mépris à leur égard. Ils vont rester avec moi, et bientôt je les enverrai comme j’envoie les soixante-douze premiers. La moisson est abondante, et les ouvriers sont toujours peu nombreux pour le travail à faire. Il y aura donc du travail pour tous. Et ils n’y suffiront pas encore. Donc, sans jalousie, priez le Maître de la moisson d’envoyer toujours de nouveaux ouvriers pour sa moisson.
       Pour le moment, allez. Les apôtres et moi, en ces jours de repos, nous avons complété votre instruction sur le travail que vous avez à faire, en répétant ce que j’ai dit avant d’envoyer les douze.
       L’un de vous m’a demandé : “ Mais comment vais-je guérir en ton Nom ? ” Guérissez d’abord l’âme. Promettez aux malades le Royaume de Dieu s’ils savent croire en moi et, après avoir vu en eux la foi, ordonnez à la maladie de s’en aller, et elle s’en ira. Et agissez ainsi pour ceux qui sont malades spirituellement. Allumez tout d’abord la foi. Par une parole assurée, communiquez l’espérance. Je viendrai à mon tour mettre en eux la divine charité, comme je l’ai mise dans votre cœur après que vous avez cru en moi et espéré en ma miséricorde. Et n’ayez peur ni des hommes ni du démon. Ils ne vous feront aucun mal. Les seules choses que vous devez craindre, ce sont la sensualité, l’orgueil, la cupidité. Par elles, vous pourriez vous livrer à Satan et aux hommes-satans, qui existent aussi.
       Partez donc et précédez-moi sur les routes du Jourdain. Arrivés à Jérusalem, allez rejoindre les bergers dans la vallée de Bethléem, et venez me trouver avec eux à l’endroit que vous savez. Ensemble, nous célébrerons la fête sainte et reviendrons ensuite plus affermis que jamais à notre ministère.
       Allez en paix. Je vous bénis au saint Nom du Seigneur. » Tome 4 – ch 278.6